Onze personnes sur les vingt et un salariés du complexe de Madiana à Schoelcher travaillant dans l'activité liée aux congrès sont concernées par un plan social. La direction de l'entreprise annonce une perte d'un million d’euros pendant le confinement et à la reprise de l’activité.
Huit licenciements et trois modifications de contrats sont prévus d’ici quelques semaines au complexe de Madiana. Le secteur concerné est celui de l’activité liée aux congrès.
La crise sanitaire et le confinement ont porté un rude coup à la structure. Les dix salles du complexe du palais des congrès Schoelcher sont restées fermés à toute activité du 14 mars au 24 juin 2020.
Le confinement dû à la crise sanitaire a porté un rude coup à l’activité et la reprise se fait difficilement. Les salles peinent à retrouver leur public malgré le respect du protocole sanitaire. La baisse de fréquentation serait de l'ordre de 70 pour cent. Les syndicats CDMT et CGTM-FSM sont contre le plan social. "Cette situation ne reflète pas la véritable santé de l’entreprise" précise le secrétaire général de la CDMT, Philippe Pierre Charles, "tout en dénonçant une manœuvre patronale".
La direction conteste le discours syndical et explique qu’elle a décidé de mettre en place un plan de réorganisation.
(Re)voir le reportage de Stéphanie Octavia et Fabienne Léonce
Un préavis de grève a été déposé pour réclamer des négociations.
La crise sanitaire et le confinement ont porté un rude coup à la structure. Les dix salles du complexe du palais des congrès Schoelcher sont restées fermés à toute activité du 14 mars au 24 juin 2020.
Le confinement dû à la crise sanitaire a porté un rude coup à l’activité et la reprise se fait difficilement. Les salles peinent à retrouver leur public malgré le respect du protocole sanitaire. La baisse de fréquentation serait de l'ordre de 70 pour cent. Les syndicats CDMT et CGTM-FSM sont contre le plan social. "Cette situation ne reflète pas la véritable santé de l’entreprise" précise le secrétaire général de la CDMT, Philippe Pierre Charles, "tout en dénonçant une manœuvre patronale".
La direction conteste le discours syndical et explique qu’elle a décidé de mettre en place un plan de réorganisation.
(Re)voir le reportage de Stéphanie Octavia et Fabienne Léonce