Nous sommes dans une immense villa avec une vue imprenable sur la baie du Robert. C’est son atout charme, un véritable havre de paix que souhaite quitter la propriétaire, Marie Josée Mondesir. La maison est devenue trop grande pour elle.
À cause de l'invasion des algues sargasses, la vente est compliquée. Cette pollution visuelle et olfactive est trop fréquente. "Les échouages auraient pu être évités si les filets dédiés étaient maintenus et entretenus", constatent les habitants.
Les conséquences sur le matériel et sur la santé sont décriées et préjudiciables sur la vente de biens d’exception. Les agences accompagnent malgré tout les propriétaires qui veulent vendre faute de mieux.
La donne va-t-elle changer ? À quand une politique publique pérenne de traitement des sargasses ?
Le marché immobilier s’interroge également.