La Journée internationale des travailleurs n’aura pas été célébrée en 2020 à cause d’un événement sur lequel l’humanité n’a aucune prise.
La journée internationale des travailleurs, improprement dénommée "Fête du travail" en France depuis le régime du maréchal Pétain, est rien moins que particulière cette année.
Aucun défilé de rue, aucune réunion publique, aucun rassemblement n’ont pu être prévus. Impossibles ou interdits, selon les pays. En Martinique, une réunion à la Maison des syndicats. Une organisation politique, Combat ouvrier, a proposé d’arborer un drapeau ou un morceau de tissu rouge à sa fenêtre.
C’est bien la première fois, hormis les guerres mondiales, qu’une telle célébration n’a pas lieu. Cette journée de mobilisation en hommage aux premiers syndicalistes américains va entrer dans l’histoire, sans conteste.
Dans tous les pays où les salariés peuvent s’organiser librement, ils seront empêchés de se manifester publiquement. Les syndicats sont impuissants, alors que leur raison d’être est la lutte pour les droits. Un vrai bouleversement.
Pourtant, les sujets de préoccupation qu’ils pourraient aborder sont nombreux et complexes. Par exemple, le ralentissement de l’économie mondiale avec son corollaire, la baisse de la consommation ; ou le télétravail et sa généralisation, bouleversant l’organisation des entreprises, mais aussi la vie privée de ses collaborateurs ; ou encore, la multiplication des faillites d’entreprises avec pour conséquence l’augmentation du chômage.
Sans oublier une crise économique inédite par son ampleur et son caractère soudain. Et tout ceci à cause d’une épidémie provoquée par un virus inconnu. Un fait sur lequel l’être humain n’a aucune prise, de nature à nous faire réfléchir sur la fragilité de l’espèce humaine.
Aucun défilé de rue, aucune réunion publique, aucun rassemblement n’ont pu être prévus. Impossibles ou interdits, selon les pays. En Martinique, une réunion à la Maison des syndicats. Une organisation politique, Combat ouvrier, a proposé d’arborer un drapeau ou un morceau de tissu rouge à sa fenêtre.
C’est bien la première fois, hormis les guerres mondiales, qu’une telle célébration n’a pas lieu. Cette journée de mobilisation en hommage aux premiers syndicalistes américains va entrer dans l’histoire, sans conteste.
Dans tous les pays où les salariés peuvent s’organiser librement, ils seront empêchés de se manifester publiquement. Les syndicats sont impuissants, alors que leur raison d’être est la lutte pour les droits. Un vrai bouleversement.
Une journée pour réfléchir sur notre avenir
Pourtant, les sujets de préoccupation qu’ils pourraient aborder sont nombreux et complexes. Par exemple, le ralentissement de l’économie mondiale avec son corollaire, la baisse de la consommation ; ou le télétravail et sa généralisation, bouleversant l’organisation des entreprises, mais aussi la vie privée de ses collaborateurs ; ou encore, la multiplication des faillites d’entreprises avec pour conséquence l’augmentation du chômage.
Sans oublier une crise économique inédite par son ampleur et son caractère soudain. Et tout ceci à cause d’une épidémie provoquée par un virus inconnu. Un fait sur lequel l’être humain n’a aucune prise, de nature à nous faire réfléchir sur la fragilité de l’espèce humaine.