Frappée par la pandémie COVID19, la filière aérienne de la Caraïbe est au bord du gouffre. Après la faillite de la LIAT, Caribbean Airlines, (CAL), compagnie nationale de Trinidad et Tobago licencie un tiers de son personnel afin d’économiser US$1,6 million par mois.
Caribbean Airlines (CAL), la plus grande compagnie aérienne de la Caraïbe, va mal. À partir du 15 octobre 2020, 1700 membres du personnel, soit un tiers des salariés, seront licenciés.
250 pilotes et 375 membres du personnel naviguant sont concernés par ces mesures qui vont durer 3 mois, dans un premier temps. Il s’agit d’un licenciement économique sans solde.
Des employées encore en poste pourraient subir une amputation de salaire d’entre 10 et 15%. Cette mesure restera en vigueur jusqu’au 15 juin, 2021.
Caribbean Airlines veut réaliser des économies d’au moins US$1,6 million par mois. L’injection d’une subvention exceptionnelle d’US $65 millions par le gouvernement de Trinidad et Tobago est presque épuisée.
Depuis la fermeture des frontières de Trinidad et Tobago le 22 mars 2020, Caribbean Airlines a suspendu la quasi-totalité de ses vols transportant des passagers. La compagnie maintient ses rotations domestiques avec Tobago. Pour desservir quelques pays de la Caraïbe, CAL a implanté un hub provisoire à Barbade.
La Dominique, Saint-Vincent et les Grenadines et la Grenade bénéficient de quelques vols hebdomadaires. Ces îles sont intégrées dans un couloir sanitaire, mis en place par la Communauté Caribéenne, la CARICOM car elles n’affichent que quelques cas du COVID19 et un taux de contamination très bas.
Les passagers qui habitent dans ces pays, sont exemptés des dépistages PCR et de la période de quarantaine. À partir du 15 octobre, Caribbean Airlines va inaugurer un vol entre la Barbade et la Jamaïque.
Seul le transport de cargaison aérien entre Trinidad et Tobago, la Jamaïque et Barbade affiche une augmentation de 14%.
Cette activité est insuffisante pour maintenir un effectif de plus de 5000 salariés. D'habitude, Caribbean Airlines, avec sa flotte de 12 boeings 737 et 7 ATR, assure un total de 22 escales dans la Caraïbe, en Amérique Latine, au Canada et aux États Unis.
250 pilotes et 375 membres du personnel naviguant sont concernés par ces mesures qui vont durer 3 mois, dans un premier temps. Il s’agit d’un licenciement économique sans solde.
Des employées encore en poste pourraient subir une amputation de salaire d’entre 10 et 15%. Cette mesure restera en vigueur jusqu’au 15 juin, 2021.
Caribbean Airlines veut réaliser des économies d’au moins US$1,6 million par mois. L’injection d’une subvention exceptionnelle d’US $65 millions par le gouvernement de Trinidad et Tobago est presque épuisée.
Une réduction d'activité qui place CAL dans le rouge
Depuis la fermeture des frontières de Trinidad et Tobago le 22 mars 2020, Caribbean Airlines a suspendu la quasi-totalité de ses vols transportant des passagers. La compagnie maintient ses rotations domestiques avec Tobago. Pour desservir quelques pays de la Caraïbe, CAL a implanté un hub provisoire à Barbade.
La Dominique, Saint-Vincent et les Grenadines et la Grenade bénéficient de quelques vols hebdomadaires. Ces îles sont intégrées dans un couloir sanitaire, mis en place par la Communauté Caribéenne, la CARICOM car elles n’affichent que quelques cas du COVID19 et un taux de contamination très bas.
Les passagers qui habitent dans ces pays, sont exemptés des dépistages PCR et de la période de quarantaine. À partir du 15 octobre, Caribbean Airlines va inaugurer un vol entre la Barbade et la Jamaïque.
Seul le transport de cargaison aérien entre Trinidad et Tobago, la Jamaïque et Barbade affiche une augmentation de 14%.
Cette activité est insuffisante pour maintenir un effectif de plus de 5000 salariés. D'habitude, Caribbean Airlines, avec sa flotte de 12 boeings 737 et 7 ATR, assure un total de 22 escales dans la Caraïbe, en Amérique Latine, au Canada et aux États Unis.