Cela fait neuf mois que les lahars menacent les habitants du Prêcheur. Les acteurs mobilisés dans la gestion de crise étaient réunis dans la commune mercredi 19 septembre. Deux expertises menées en avril dernier ont été présentées. Le coût des travaux s’élève à près de 5 millions d'euros.
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Véritable attraction pour certains, la rivière des Abymes est une épée de Damoclès pour les habitants du Prêcheur. Les alertes aux Lahars rythment la vie de la commune depuis janvier, mois où le phénomène a commencé pour ne plus s'arrêter. Pour éviter le pire, les engins effectuent un curage quasi quotidien et le système d’alerte reste en éveil.
État et collectivités, tous deux acteurs de la gestion de crise étaient réunis au Prêcheur mercredi 19 septembre. Les préconisations des deux missions menées par des experts en avril ont été présentées.Des enrochements et des digues sont envisagés afin de protéger les quartiers Coquette, Pohie et des Abymes. "Ces aménagements des berges sont des mesures assez lourdes, on parle de 5 millions d'euros", estime Franck Robine, le Préfet de Martinique.
Pour la municipalité les risques naturels sont si importants qu’il faudrait préparer un réaménagement global, voir déplacer une partie des riverains.
(Re)voir le reportage avec des images de François Marlin.
État et collectivités, tous deux acteurs de la gestion de crise étaient réunis au Prêcheur mercredi 19 septembre. Les préconisations des deux missions menées par des experts en avril ont été présentées.Des enrochements et des digues sont envisagés afin de protéger les quartiers Coquette, Pohie et des Abymes. "Ces aménagements des berges sont des mesures assez lourdes, on parle de 5 millions d'euros", estime Franck Robine, le Préfet de Martinique.
Pour la municipalité les risques naturels sont si importants qu’il faudrait préparer un réaménagement global, voir déplacer une partie des riverains.
(Re)voir le reportage avec des images de François Marlin.