Jean-Pierre Bidault Deschaumes, le président de la fédération des zones d'activités de Martinique, estime que l'absence d'organisation du TCSP près des zones industrielles, risque à la fois de pénaliser ses adhérents et de décourager les clients.
Dans les zones d'activités périphériques de Fort-de-France et du Lamentin (Jambette, Californie ou la Lézarde), les commençants redoutent déjà les gros bouchons de la prochaine rentrée que vont générer les BHNS (Bus à Haut Niveau de Service). La circulation dans ces zones est désormais partagée avec tous les véhicules et régulée par de nouveaux feux.
En outre, les usagers qui débarquent dans ces carrefours, n'ont aucun relais pour se rendre dans les entreprises installées en aval, comme par exemple un système de navette. Pour Jean-Pierre Bidault Deschaumes, le président de la fédération des zones d'activités de Martinique, cette situation risque à la fois de pénaliser ses adhérents et de décourager les clients. Il s'appuie sur l'exemple concret du rond-point de Californie au Lamentin.
Jean-Pierre Bidault Deschaumes évoquait avec scepticisme cette question lors de l'émission Saw ka di du 23 avril 2018 https://www.youtube.com/watch?v=W8izNcHmysw
En outre, les usagers qui débarquent dans ces carrefours, n'ont aucun relais pour se rendre dans les entreprises installées en aval, comme par exemple un système de navette. Pour Jean-Pierre Bidault Deschaumes, le président de la fédération des zones d'activités de Martinique, cette situation risque à la fois de pénaliser ses adhérents et de décourager les clients. Il s'appuie sur l'exemple concret du rond-point de Californie au Lamentin.
Jean-Pierre Bidault-Deschaumes