Mauvaise surprise pour Michel Moreau hier matin (29 décembre). Quelques jours avant le réveillon de la Saint Sylvestre, le marin-pêcheur de Grand-Rivière venu lever ses casiers pour honorer ses commandes, les a trouvés vides avec de grands trous faits par les pilleurs pour en récupérer le contenu.
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Michel Moreau est en colère. Ce n'est pas la première fois que son outil de travail est pillé, mais il ne l'a jamais été de cette manière.
Quelle mauvaise surprise pour le marin-pêcheur de Grand-Rivière au moment de lever ses casiers pour livrer ses commandes "j'ai pu constater que non seulement ils ont levé le casier, mais ils ont aussi détérioré le matériel".
C'est sur les réseaux sociaux que le professionnel a partager son mécontentement:
Vendu entre 22 et 25 euros le kilo, le crustacé attise les convoitises. Mais le marin-pêcheur va plus loin et parle de braconnage "c'est quelqu'un qui connaît la mer qui peut prendre ça. Ces temps-ci la météo n'est pas clémente, pour affronter cette mer de Grand-Rivière côte Atlantique, il faut connaître la mer".
Écoutez Michel Moreau, marin-pêcheur de Grand-Rivière :
Quelle mauvaise surprise pour le marin-pêcheur de Grand-Rivière au moment de lever ses casiers pour livrer ses commandes "j'ai pu constater que non seulement ils ont levé le casier, mais ils ont aussi détérioré le matériel".
Un vol qui a un impact sur le chiffre d'affaire
Pour le marin-pêcheur, c'est un manque à gagner considérable face à la forte demande due aux fêtes de fin d'année. Selon ses dires, ses clients lui auraient réservé une trentaine de kilos de crustacés rien que pour leur dîner du réveillon.C'est sur les réseaux sociaux que le professionnel a partager son mécontentement:
Une pratique pas si inhabituelle
Selon Michel Moreau, depuis le début de la saison de langouste entre juillet et janvier, les pillages de casiers sont fréquents. Rien qu'hier (29 décembre), après vérification sur la zone, plus d'une vingtaine de casiers avait été visité.Vendu entre 22 et 25 euros le kilo, le crustacé attise les convoitises. Mais le marin-pêcheur va plus loin et parle de braconnage "c'est quelqu'un qui connaît la mer qui peut prendre ça. Ces temps-ci la météo n'est pas clémente, pour affronter cette mer de Grand-Rivière côte Atlantique, il faut connaître la mer".
Écoutez Michel Moreau, marin-pêcheur de Grand-Rivière :
Interview de Michel Moreau