Une piste est sérieusement évoquée pour éviter de payer au prix fort le propriétaire du terrain de Séguineau au Lorrain sur lequel passent les installations d'eau potable de la CTM. Elle consiste en la possibilité de prendre un arrêté de servitude. Partisans et opposants se déchirent.
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Pour éviter que les martiniquais ne subissent un carême 2021 aussi pénible que celui que nous venons de vivre, l’idée d’une réquisition préconisée par Alfred Marie-Jeanne (Président du conseil exécutif de la Collectivité Territoriale de Martinique, CTM), est écartée par la préfecture car "elle ne pourrait être que provisoire".
La CTM devra faire une demande de servitude, (d’ici au 7 novembre 2020) pour faire passer les canalisations nécessaires, comme le permet l’article L-152-1 du code rural.
Le vice-président de l'Assemblée de Martinique, Fred Lordinot, membre de l'opposition, ne valide pas du tout cette nouvelle option.
Le discours est différent du côté de Charles Virassamy porte-parole, du collectif "Séguineau non aux chantages" qui avait sollicité le préfet après la délibération de l’Assemblée.
(Re)voir le reportage de Christophe Arnerin et Marc-François Calmo.
La CTM devra faire une demande de servitude, (d’ici au 7 novembre 2020) pour faire passer les canalisations nécessaires, comme le permet l’article L-152-1 du code rural.
Le vice-président de l'Assemblée de Martinique, Fred Lordinot, membre de l'opposition, ne valide pas du tout cette nouvelle option.
Le discours est différent du côté de Charles Virassamy porte-parole, du collectif "Séguineau non aux chantages" qui avait sollicité le préfet après la délibération de l’Assemblée.
(Re)voir le reportage de Christophe Arnerin et Marc-François Calmo.
La polémique autour du terrain privé de Séguineau au Lorrain pour le passage de l'eau