Dans la caraïbe, le tourisme représente entre 50 et 90% du PIB selon le territoire concerné. La pandémie du COVID19 a décimé cette industrie dans la région et a mis en évidence la forte dépendance d’un seul secteur économique. Les experts préconisent une diversification des économies.
À la Martinique le secteur touristique affiche 57 millions d’euros de pertes à cause de l’impact du COVID19. Chez les pays voisins, la situation est encore plus critique.
Dans les différents pays de la caraïbe le tourisme peut représenter entre 50 et 90% du PIB. À Sainte-Lucie, par exemple, 65% des revenus proviennent de l’industrie touristique. C’est également le plus grand secteur d'embauche dans la région.
L’impact du COVID19 a démontré à quel point l’industrie touristique est fragile. La pandémie a exposé la vulnérabilité de la région. Du jour au lendemain, les pays de la Caraïbe ont perdu leur source principale de devises.
Cette dépendance d’une industrie si volatile inquiète des économistes qui, depuis des années, conseillent la diversification aux différents régimes de la Caraïbe.
Aux Bahamas où le tourisme représente un tiers des revenus du pays, les $2,1 milliards de réserves (environ 1,7 milliard d’euros) vont assurer l’importation de produits alimentaires et de fioul pendant environ 3 mois.
Après une première tentative catastrophique à redémarrer le tourisme (le taux d’infection du COVID19 est monté en flèche), le gouvernement bahamien va refaire l’expérience à partir du 15 octobre 2020. Cette fois-ci, les clients doivent rester dans leurs hôtels. Les excursions sont interdites. Le gouvernement de la Barbade a injecté l’équivalent de 145 millions d’euros dans un plan pour relancer l’emploi. Pour compenser la perte d’emplois dans le tourisme, 15.000 postes seront créés dans l’éducation, l’agriculture, la construction et la santé. Pour protéger des postes dans le tourisme, le gouvernement versera 80% des salaires à des milliers de personnes pendant 2 ans.
À l’exception de la République Dominicaine, les pays de la Caraïbe ont bien maitrisé le taux d’infection du COVID19. Leurs infrastructures hospitalières n’auront jamais pu faire face à un nombre élevé de malades.
C’est un autre élément qui pourrait refroidir les touristes qui voyagent pendant la pandémie. Si jamais ils tombent malades pendant leurs vacances, les visiteurs voudraient bien compter sur une bonne prise en charge.
Dans les différents pays de la caraïbe le tourisme peut représenter entre 50 et 90% du PIB. À Sainte-Lucie, par exemple, 65% des revenus proviennent de l’industrie touristique. C’est également le plus grand secteur d'embauche dans la région.
L’impact du COVID19 a démontré à quel point l’industrie touristique est fragile. La pandémie a exposé la vulnérabilité de la région. Du jour au lendemain, les pays de la Caraïbe ont perdu leur source principale de devises.
Cette dépendance d’une industrie si volatile inquiète des économistes qui, depuis des années, conseillent la diversification aux différents régimes de la Caraïbe.
La pandémie met en péril des décennies de progrès réalisé sur le plan humain. Il a eu des avancées au niveau sanitaire, dans l’espérance de la vie et même au niveau des inscriptions scolaires.
Aux Bahamas où le tourisme représente un tiers des revenus du pays, les $2,1 milliards de réserves (environ 1,7 milliard d’euros) vont assurer l’importation de produits alimentaires et de fioul pendant environ 3 mois.
Après une première tentative catastrophique à redémarrer le tourisme (le taux d’infection du COVID19 est monté en flèche), le gouvernement bahamien va refaire l’expérience à partir du 15 octobre 2020. Cette fois-ci, les clients doivent rester dans leurs hôtels. Les excursions sont interdites. Le gouvernement de la Barbade a injecté l’équivalent de 145 millions d’euros dans un plan pour relancer l’emploi. Pour compenser la perte d’emplois dans le tourisme, 15.000 postes seront créés dans l’éducation, l’agriculture, la construction et la santé. Pour protéger des postes dans le tourisme, le gouvernement versera 80% des salaires à des milliers de personnes pendant 2 ans.
À l’exception de la République Dominicaine, les pays de la Caraïbe ont bien maitrisé le taux d’infection du COVID19. Leurs infrastructures hospitalières n’auront jamais pu faire face à un nombre élevé de malades.
C’est un autre élément qui pourrait refroidir les touristes qui voyagent pendant la pandémie. Si jamais ils tombent malades pendant leurs vacances, les visiteurs voudraient bien compter sur une bonne prise en charge.