Le maire du Marin Rodolphe Désiré a fait de sa ville une destination très prisée du monde du nautisme et de la course au large. Sa ville conserve la Mini-Transat très convoitée. Une course transocéanique qui a fêté ses 40 ans au Marin.
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C'est un plaisancier qui le dit avec le sourire "finie l'époque ou le Yatch Club présidé par Raphaël Jean-Charles organisait la Mini-Transat, la Transat des Alizés et le Grand prix de Multicoques". Les organisateurs de cette course au large, la Mini-Transat en solitaire et sans assistance, sont heureux d'avoir choisi le Marin comme ville d'arrivée finale.
Et le partenariat se poursuit compte tenu de de l'insistance de plusieurs entreprises venues de La Rochelle. Elles ont trouvé un site qui répond à leurs attentes. La nouvelle marina située au fond d'un cul-de-sac est spacieuse et de qualité. Elle est bien différente à d'autres infrastructures pourtant réputées en termes de construction et d'attractivité. De quoi susciter des vocations pour les métiers de la mer. En tête : celui de skipper. Aucun Martiniquais ne s'est engagé lors de cette édition remportée par Ian Lipinski.
Du côté de la ligue de voile présidée par Claude Vatran de retour à la présidence, on a des projets pour surfer sur la Mini-Transat et former de jeunes passionnés de voile à la course au large. La demande est forte mais les moyens financiers manquent. La CTM sera sollicitée pour obtenir des aides. L'ancien conseiller technique de voile Michel Zougs a réuni au Marin des martiniquais et des convoyeurs de bateaux ayant disputé des courses au large.
Les échanges entre Albert Lapiquonne, Gaston Talba, Eric Baray, Hervé Ejoaka et Daniel Ecalard, 10e de la Route du Rhum 2014, ont été très fructueux. Le Marin ville d'arrivée de la Mini-Transat, a provoqué un déclic en libérant la parole sur l'urgence d'avoir des skippers martiniquais au départ des prochaines courses au large.
On sait que le navigateur Eric Baray cherche activement des sponsors pour disputer la Route du Rhum dont le départ sera donné à Saint-Malo, une commune située sur la côte nord de Bretagne avec une arrivée à Pointe à Pitre, en Guadeloupe. Les plus optimistes disent qu'un skipper martiniquais sera au départ de la prochaine Mini-Transat. L'espoir fait vivre c'est connu...
Et le partenariat se poursuit compte tenu de de l'insistance de plusieurs entreprises venues de La Rochelle. Elles ont trouvé un site qui répond à leurs attentes. La nouvelle marina située au fond d'un cul-de-sac est spacieuse et de qualité. Elle est bien différente à d'autres infrastructures pourtant réputées en termes de construction et d'attractivité. De quoi susciter des vocations pour les métiers de la mer. En tête : celui de skipper. Aucun Martiniquais ne s'est engagé lors de cette édition remportée par Ian Lipinski.
Vers la formation de skippers Martiniquais
Du côté de la ligue de voile présidée par Claude Vatran de retour à la présidence, on a des projets pour surfer sur la Mini-Transat et former de jeunes passionnés de voile à la course au large. La demande est forte mais les moyens financiers manquent. La CTM sera sollicitée pour obtenir des aides. L'ancien conseiller technique de voile Michel Zougs a réuni au Marin des martiniquais et des convoyeurs de bateaux ayant disputé des courses au large.
Les échanges entre Albert Lapiquonne, Gaston Talba, Eric Baray, Hervé Ejoaka et Daniel Ecalard, 10e de la Route du Rhum 2014, ont été très fructueux. Le Marin ville d'arrivée de la Mini-Transat, a provoqué un déclic en libérant la parole sur l'urgence d'avoir des skippers martiniquais au départ des prochaines courses au large.
Un martiniquais au départ de la prochaine Mini-Transat ?
On sait que le navigateur Eric Baray cherche activement des sponsors pour disputer la Route du Rhum dont le départ sera donné à Saint-Malo, une commune située sur la côte nord de Bretagne avec une arrivée à Pointe à Pitre, en Guadeloupe. Les plus optimistes disent qu'un skipper martiniquais sera au départ de la prochaine Mini-Transat. L'espoir fait vivre c'est connu...