Un amendement déposé le 9 juin dernier par des députés interpelle les responsables des radios en Outre-mer. L’obligation est faite aux diffuseurs radiophoniques d’avoir un quota d’œuvres musicales en langue régionale en usage en France.
Un amendement déposé le 9 juin dernier par des députés, et inséré dans la loi relative à la liberté de communication, interpelle les responsables des radios en Outre-mer. Les œuvres musicales interprétées dans une langue régionale en usage en France doivent constituer au minimum 4 % de la proportion d’œuvres musicales d’expression française.
Cet amendement, porté par Victorin Lurel et une dizaine de parlementaires, n’entend pas se limiter aux seules expressions ultramarines, et vise à favoriser la diversité de l’expression musicale et culturelle. Les parlementaires veulent instaurer sur les antennes un quota de 4% de musique en langues régionales.
Demain sur la bande FM, les stations devront diffuser des chants corses, créoles ou interprétés dans d’autres langues régionales "en usage en France". Un texte qui passe mal auprès des radios musicales thématiques en Martinique, comme dans l'hexagone.
(Re)voir le reportage de Dominique Legros et François Marlin
Cet amendement, porté par Victorin Lurel et une dizaine de parlementaires, n’entend pas se limiter aux seules expressions ultramarines, et vise à favoriser la diversité de l’expression musicale et culturelle. Les parlementaires veulent instaurer sur les antennes un quota de 4% de musique en langues régionales.
Demain sur la bande FM, les stations devront diffuser des chants corses, créoles ou interprétés dans d’autres langues régionales "en usage en France". Un texte qui passe mal auprès des radios musicales thématiques en Martinique, comme dans l'hexagone.
(Re)voir le reportage de Dominique Legros et François Marlin