Une enquête de "60 Millions de consommateurs" a épinglé les assurances obsèques, qui seraient des placements ruineux. Le magazine dénonce le comportement de certains crématoriums, qui revendent des matériaux retrouvés sur le corps des défunts, et qui génèrent plusieurs millions d'euros.
"Des placements ruineux" le magazine "60 millions de consommateus" pointe du doigt les contrats d'assurance obsèques souscrits dans le but d'obtenir un capital pour le financement ses funérailles.
Sur un comparatif de 11 assurances obsèques, publié dans le hors-série Héritage et succession de 60 Millions : aucun des contrats étudiés n’est vraiment satisfaisant. Par exemple, un souscripteur de 62 ans aura versé en moyenne près de 5 400 €, alors que le bénéficiaire ne pourra compter que sur 4 000 € vingt ans plus tard. Et le coût des funérailles augmente plus vite que l’inflation. Le magazine denonce également les devis excessifs des pompes funèbres.
On apprend également l'existence d'une filière de recyclage autour des crémations, méconnue des Français. A chaque année la crémation, les cendres sont remises aux familles. Mais certains métaux précieux ne brûlent pas. Les prothèses, les dents en or ou encore les stérilets en cuivre sont collectés par des entreprises spécialisées, qui les revendent à d'autres sociétés dans les secteurs de l'aéronautique, de l'automobile ou encore de l'électroménager.
Sur un comparatif de 11 assurances obsèques, publié dans le hors-série Héritage et succession de 60 Millions : aucun des contrats étudiés n’est vraiment satisfaisant. Par exemple, un souscripteur de 62 ans aura versé en moyenne près de 5 400 €, alors que le bénéficiaire ne pourra compter que sur 4 000 € vingt ans plus tard. Et le coût des funérailles augmente plus vite que l’inflation. Le magazine denonce également les devis excessifs des pompes funèbres.
Recyclage mortuaire
On apprend également l'existence d'une filière de recyclage autour des crémations, méconnue des Français. A chaque année la crémation, les cendres sont remises aux familles. Mais certains métaux précieux ne brûlent pas. Les prothèses, les dents en or ou encore les stérilets en cuivre sont collectés par des entreprises spécialisées, qui les revendent à d'autres sociétés dans les secteurs de l'aéronautique, de l'automobile ou encore de l'électroménager.