Tout indique que la rentrée culturelle annonce une année féconde en initiation aux arts, en spectacles et en publications de livres.
Martinique, terre de culture. Qui ose en douter ? La multitude d’institutions publiques et d’artistes, professionnels ou amateurs, témoignent de notre caractère de terre fertile en créativité. Autre signe, le concours d’entrée au Campus caribéen des arts, lundi 9 et mardi 10 septembre 2019, visant à recruter de futurs peintres, sculpteurs et designers.
Martinique, terre de culture ? En plus de Fort-de-France et du Lamentin, il existe une grande quantité d’offices municipaux de la culture. Leur vocation ? Initier tout un chacun à tous les domaines possibles de la création artistique. Le succès de cette démarche ne se dément pas depuis qu’Aimé Césaire, alors maire de Fort-de-France, a lancé le Service municipal d’action culturelle (Sermac), voici plus de 40 ans.
Que reste-t-il de cette fulgurance ? La question se pose. Car un constat nous oblige : la diversité et le nombre des spectacles baissent chaque année. L’argent public se fait plus rare, les contributions privées sont limitées. Il ne s’agit pas d’accuser nos institutions publiques ou privées qui accomplissent un travail de fond.
Il n’empêche, nous avons du mal à franchir le cap menant de l’amateurisme éclairé au professionnalisme. Comment faire et avec quels moyens ? La réflexion commence sur ce sujet sensible.
Ce constat ne doit pas nous empêcher d’encourager enfants et adultes à exprimer leur talent. La création artistique contribue à la cohésion sociale, comme le sport ou l’école. Elle est un pilier de notre vie collective et un marqueur d’identité. Même s’il est complexe de le mesurer, la Martinique, tout comme la Guadeloupe, peut s’enorgueillir d’être riche de musiciens, de plasticiens, d’écrivains.
Cette année sera sûrement féconde sur ces plans-là, une fois de plus, à n’en pas douter.
Martinique, terre de culture ? En plus de Fort-de-France et du Lamentin, il existe une grande quantité d’offices municipaux de la culture. Leur vocation ? Initier tout un chacun à tous les domaines possibles de la création artistique. Le succès de cette démarche ne se dément pas depuis qu’Aimé Césaire, alors maire de Fort-de-France, a lancé le Service municipal d’action culturelle (Sermac), voici plus de 40 ans.
Que reste-t-il de cette fulgurance ? La question se pose. Car un constat nous oblige : la diversité et le nombre des spectacles baissent chaque année. L’argent public se fait plus rare, les contributions privées sont limitées. Il ne s’agit pas d’accuser nos institutions publiques ou privées qui accomplissent un travail de fond.
Comment franchir le cap de l’amateurisme éclairé ?
Il n’empêche, nous avons du mal à franchir le cap menant de l’amateurisme éclairé au professionnalisme. Comment faire et avec quels moyens ? La réflexion commence sur ce sujet sensible.
Ce constat ne doit pas nous empêcher d’encourager enfants et adultes à exprimer leur talent. La création artistique contribue à la cohésion sociale, comme le sport ou l’école. Elle est un pilier de notre vie collective et un marqueur d’identité. Même s’il est complexe de le mesurer, la Martinique, tout comme la Guadeloupe, peut s’enorgueillir d’être riche de musiciens, de plasticiens, d’écrivains.
Cette année sera sûrement féconde sur ces plans-là, une fois de plus, à n’en pas douter.