Une trentaine de militants écologiste venus assister à la COP 25 font escale depuis ce samedi 7 décembre 2019 dans la baie de Fort-de-France. Leur blocage est dû au déplacement de la COP 25 du Chili vers l'Espagne. Néanmoins ils peuvent assister aux débats par internet.
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La baie de Fort-de-France accueille un beau voilier depuis samedi (7 décembre 2019). À son bord, une trentaine de militants écologistes venus des Pays-Bas afin d'assister à la COP 25 au Chili. Celle-ci ayant été déplacée vers l'Espagne pour cause de troubles au Chili, les jeunes activistes ont fait escale en Martinique afin de suivre les débats à distance par internet.
Naviguant à la voile depuis deux mois, ces militants veulent dénoncer l'impact néfaste de l'aviation sur le climat. Un moyen de transport qui ne figure pas dans l'accord de Paris.
"C'est une industrie qui pollue énormément et qui va continuer de polluer dans le futur, donc nous voulions de manière symbolique arriver à la COP en voilier et demander à ce que la discussion sur l'industrie de l'aviation internationale soit prise en compte au niveau international", expliquent-ils.
Grâce à leurs représentants à la COP 25 à Madrid, ces jeunes activistes participent aux débats par webcam et comptent bien faire entendre leur voix.
Ils veulent inciter les états à taxer le carburant, à développer des liaisons ferroviaires, et donc le transport durable face à une industrie destructrice qui "cause 5% de réchauffement climatique".
Dénoncer l'impact de l'industrie sur le climat
Naviguant à la voile depuis deux mois, ces militants veulent dénoncer l'impact néfaste de l'aviation sur le climat. Un moyen de transport qui ne figure pas dans l'accord de Paris.
"C'est une industrie qui pollue énormément et qui va continuer de polluer dans le futur, donc nous voulions de manière symbolique arriver à la COP en voilier et demander à ce que la discussion sur l'industrie de l'aviation internationale soit prise en compte au niveau international", expliquent-ils.
Grâce à leurs représentants à la COP 25 à Madrid, ces jeunes activistes participent aux débats par webcam et comptent bien faire entendre leur voix.
Ils veulent inciter les états à taxer le carburant, à développer des liaisons ferroviaires, et donc le transport durable face à une industrie destructrice qui "cause 5% de réchauffement climatique".
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