À bord de petits voiliers de 6,50 mètres, 23 pros et 54 amateurs, dont 10 femmes, font route vers la Martinique pour la deuxième étape de la Mini-Transat. La bataille stratégique qui anime la tête de course est intense. Les classements évoluent en fonction des trajectoires des skippers.
La seconde étape, qui doit mener les concurrents de Las Palmas (Canaries) au Marin, commune du sud-est de la Martinique, a été rallongée de quelque 200 milles (370 km). A mi-chemin entre les Bahamas et les Açores, une onde tropicale se profile sous forme d’une formation orageuse active. Cette déviation représente une grosse journée de navigation supplémentaire, pour "être suffisamment éloignée du centre potentiel d'une dépression tropicale", ont indiqué les organisateurs.
Les positions
Même s'il s'en défend, le grand favori reste Ian Lipinski (Griffon.fr), victorieux lors de la précédente édition en série en 2015 et engagé pour cette 21e édition sur un prototype. La bataille d’empannages se poursuit au large des côtes d’Afrique. Les classements évoluent au gré des trajectoires des uns et des autres. Les choix stratégiques des prochaines heures pourraient permettre de décanter un peu plus la situation. La nuit a été cruelle pour Erwan Le Mené et Timothée Bonavita, victimes d’avaries de safran. Au dernier pointage le guadeloupéen Keni Pipérol occupe la 14e place.
En série, l'autre catégorie en course, les écarts sont si faibles selon les premiers pointages après 40 heures de course que c’est le plus souvent le décalage latéral par rapport à la route directe qui détermine le classement. Rémi Aubrun (Alternative Sailing – Constructions du Belon) a choisi un bord rapprochant, et laisse ses principaux adversaires Tanguy Bouroullec (Kerhis – Cerfrance), Clarisse Crémer (TBS), Erwan Le Draoulec (Emile Henry) sur un autre cap.
Un succès grandissant
La Mini-Transat, qui célèbre ses 40 ans, a mis aux prises les plus grands marins comme Michel Desjoyeaux, Isabelle Autissier, Ellen Mac Arthur ou encore Thomas Coville. Elle a pour particularité de se faire sans communication avec la terre. À l'exception d'une radio VHF. Ils étaient 81 bateaux au départ de La Rochelle le 1er octobre.
Les positions
Même s'il s'en défend, le grand favori reste Ian Lipinski (Griffon.fr), victorieux lors de la précédente édition en série en 2015 et engagé pour cette 21e édition sur un prototype. La bataille d’empannages se poursuit au large des côtes d’Afrique. Les classements évoluent au gré des trajectoires des uns et des autres. Les choix stratégiques des prochaines heures pourraient permettre de décanter un peu plus la situation. La nuit a été cruelle pour Erwan Le Mené et Timothée Bonavita, victimes d’avaries de safran. Au dernier pointage le guadeloupéen Keni Pipérol occupe la 14e place.
En série, l'autre catégorie en course, les écarts sont si faibles selon les premiers pointages après 40 heures de course que c’est le plus souvent le décalage latéral par rapport à la route directe qui détermine le classement. Rémi Aubrun (Alternative Sailing – Constructions du Belon) a choisi un bord rapprochant, et laisse ses principaux adversaires Tanguy Bouroullec (Kerhis – Cerfrance), Clarisse Crémer (TBS), Erwan Le Draoulec (Emile Henry) sur un autre cap.
Un succès grandissant
La Mini-Transat, qui célèbre ses 40 ans, a mis aux prises les plus grands marins comme Michel Desjoyeaux, Isabelle Autissier, Ellen Mac Arthur ou encore Thomas Coville. Elle a pour particularité de se faire sans communication avec la terre. À l'exception d'une radio VHF. Ils étaient 81 bateaux au départ de La Rochelle le 1er octobre.