Ces temps derniers les pêches miraculeuses se multiplient dans la baie de Petite Anse et au large des Anses d'Arlet de manière générale. De nombreux bancs de coulirous, poissons blancs très appréciés en Martinique, sont capturés. Leur présence bien qu'habituelle est liée à l'invasion de sargasses.
Michel, Jean-Marc et les autres marins-pêcheurs de Petite Anse sont quotidiennement au port de pêche. Et ils ont de quoi faire. Sur l'étale, un énorme bac plein de coulirous.
"On en a pêché plus de 10 tonnes", annonce fièrement Michel Moreau. Pour voir ces poissons, embarquement à bord de la yole du professionnel de la mer.
"C'est ici, à quelques mètres du rivage qu'on a vu l'énorme banc de coulirous mardi" (10 juillet), poursuit-il.
Selon les marins-pêcheurs de la zone, de nombreux bancs de poissons se côtoient dans la baie des Anses d'Arlets depuis quelques semaines. Ainsi, les "pêches miraculeuses" sont très fréquentes en ce moment. "C'est vrai que c'est la période, mais il y a aussi un arrivage important dû aux sargasses parce que les pêcheurs les rencontrent au large. Arrivés près de la côte, ils prennent refuge dans les herbiers pour la ponte dans les pâturages", explique Michel Moreau.
En attendant les clients et pour en garantir la fraîcheur, les marins-pêcheurs ont stocké les poissons dans un système de parc aquatique de sept mètres de profondeur.
"On en a pêché plus de 10 tonnes", annonce fièrement Michel Moreau. Pour voir ces poissons, embarquement à bord de la yole du professionnel de la mer.
"C'est ici, à quelques mètres du rivage qu'on a vu l'énorme banc de coulirous mardi" (10 juillet), poursuit-il.
Selon les marins-pêcheurs de la zone, de nombreux bancs de poissons se côtoient dans la baie des Anses d'Arlets depuis quelques semaines. Ainsi, les "pêches miraculeuses" sont très fréquentes en ce moment. "C'est vrai que c'est la période, mais il y a aussi un arrivage important dû aux sargasses parce que les pêcheurs les rencontrent au large. Arrivés près de la côte, ils prennent refuge dans les herbiers pour la ponte dans les pâturages", explique Michel Moreau.
En attendant les clients et pour en garantir la fraîcheur, les marins-pêcheurs ont stocké les poissons dans un système de parc aquatique de sept mètres de profondeur.