François de Rugy prend la place laissée vacante par Nicolas Hulot après sa démission fracassante. Saura-t-il prendre en compte les problématiques environnementales de la Martinique?
Le nouveau ministre de l’Écologie possède-t-il une marge de manœuvre plus large que Nicolas Hulot ? Le technopoliticien François de Rugy saura-t-il convertir le Premier ministre et le président de la République à l’impérieuse nécessité de penser un monde nouveau ?
Les deux têtes de l’exécutif n’ont cessé depuis leur arrivée à Matignon et à l’Elysée de montrer leur incompréhension des enjeux de la protection de l’environnement. Influencés par les lobbys industriels, Edouard Philippe et Emmanuel Macron semblent imperméables à l’idée selon laquelle écologie et économie sont conciliables.
Un constat tiré par Nicolas Hulot pour lequel le gouvernement n'a pas fait de l'écologie une priorité politique. À l’échelle de notre petite Martinique, son successeur saura-t-il élaborer les réponses précises que nous attendons à des questions en suspens depuis trop longtemps ?
Les exemples foisonnent. Comment utiliser les tonnes de sargasses échouées sur notre littoral ? Comment aménager le territoire pour se protéger des cyclones ? Quand cesserons-nous de produire notre électricité à partir du seul pétrole ? Comment convaincre les agriculteurs et les jardiniers de cesser d’utiliser des pesticides toxiques ? Quand et comment les victimes de l’exposition au chlordécone seront-elles indemnisées ?
Des interrogations portant sur la gestion de notre espace vital et aussi sur la santé des citoyens français de Martinique. Notre résilience, notre patience, notre tolérance nous ont servi de boussoles jusqu’à présent. Jusqu’à quand ?
Les deux têtes de l’exécutif n’ont cessé depuis leur arrivée à Matignon et à l’Elysée de montrer leur incompréhension des enjeux de la protection de l’environnement. Influencés par les lobbys industriels, Edouard Philippe et Emmanuel Macron semblent imperméables à l’idée selon laquelle écologie et économie sont conciliables.
Un constat tiré par Nicolas Hulot pour lequel le gouvernement n'a pas fait de l'écologie une priorité politique. À l’échelle de notre petite Martinique, son successeur saura-t-il élaborer les réponses précises que nous attendons à des questions en suspens depuis trop longtemps ?
Les exemples foisonnent. Comment utiliser les tonnes de sargasses échouées sur notre littoral ? Comment aménager le territoire pour se protéger des cyclones ? Quand cesserons-nous de produire notre électricité à partir du seul pétrole ? Comment convaincre les agriculteurs et les jardiniers de cesser d’utiliser des pesticides toxiques ? Quand et comment les victimes de l’exposition au chlordécone seront-elles indemnisées ?
Des interrogations portant sur la gestion de notre espace vital et aussi sur la santé des citoyens français de Martinique. Notre résilience, notre patience, notre tolérance nous ont servi de boussoles jusqu’à présent. Jusqu’à quand ?
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