Les sargasses, cela agace !. Le refrain est bien connu et il va de nouveau alimenter les conversations des habitants confrontés depuis plusieurs mois au phénomène invivable des algues brunes. De nouveaux échouages sont annoncés cette semaine.
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L’image n’est pas des plus belles. Selon la DEAL, (Direction de l’Environnement, de l’Aménagement et du Logement), nous connaîtrons à partir de ce lundi 4 juin et toute cette semaine, des arrivées massives d'algues sargasses sur les côtes de Martinique. Celles qui sont déjà couvertes par ces algues brunes le seront encore davantage.
C’est surtout au sud-est du territoire que ces gros échouages sont attendus. Une zone allant de Sainte-Anne au Robert, en passant par toutes les communes du littoral, comme le François ou le Vauclin. Des nappes sont aussi attendues entre le Lorrain et Marigot. D’autres villes seront fortement impactées, ce sont celles du Diamant, Sainte-Marie, ou encore Trinité.
La situation est des plus problématiques pour le François et le Robert. Ces deux villes ont enregistré de tel phénomène sur leur rivage et qui ont du mal à s'en débarrasser.
Sur la côte caraïbe, on respire un peu mieux. De Schoelcher à Grand-Rivière à ce jour on ne peut parler d’invasion d'algues mais la vigilance reste de mise tant ce phénomène est imprévisible. La DEAL a une cellule de veille permettant d’anticiper l’échouage des sargasses. Le dispositif permet surtout la mise en place d'actions précises pour faire face aux échouages depuis quelques mois sur le littoral martiniquais.
Tout est entrepris pour éviter que les sargasses s’échouent sur terre. Elles se dégradent et émettent de l’hydrogène sulfuré (H2S). Ce gaz, s’il est inhalé sur une longue durée, présente des risques pour la santé humaine.
Impuissance
C’est surtout au sud-est du territoire que ces gros échouages sont attendus. Une zone allant de Sainte-Anne au Robert, en passant par toutes les communes du littoral, comme le François ou le Vauclin. Des nappes sont aussi attendues entre le Lorrain et Marigot. D’autres villes seront fortement impactées, ce sont celles du Diamant, Sainte-Marie, ou encore Trinité.
La situation est des plus problématiques pour le François et le Robert. Ces deux villes ont enregistré de tel phénomène sur leur rivage et qui ont du mal à s'en débarrasser.
Vigilance
Sur la côte caraïbe, on respire un peu mieux. De Schoelcher à Grand-Rivière à ce jour on ne peut parler d’invasion d'algues mais la vigilance reste de mise tant ce phénomène est imprévisible. La DEAL a une cellule de veille permettant d’anticiper l’échouage des sargasses. Le dispositif permet surtout la mise en place d'actions précises pour faire face aux échouages depuis quelques mois sur le littoral martiniquais.
Tout est entrepris pour éviter que les sargasses s’échouent sur terre. Elles se dégradent et émettent de l’hydrogène sulfuré (H2S). Ce gaz, s’il est inhalé sur une longue durée, présente des risques pour la santé humaine.
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