Faire revenir en Martinique un maximum de jeunes talents expatriés, c’est le pari de l’opération "Alé-Viré", soutenue par la Sénatrice Catherine Conconne.
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L’association "Alé-Viré" organisait mardi (16 juillet 2019), une seconde matinée de réflexion au palais des congrès de Madiana à Schœlcher, autour des opportunités à saisir au pays.
D'après la Sénatrice Catherine Conconne (à l’origine de cette initiative en 2018), les retours s’amplifient depuis la création de ce cercle.
Plusieurs centaines de personnes (élus, socioprofessionnels et particuliers), ont assisté aux échanges.
"C’est un retour plutôt réussi, dans la mesure où j’ai créé mon entreprise, j’ai une équipe d’une dizaine de personnes autour de moi qui adhèrent et qui me rendent bien les efforts que j’investis dans cette société...
En revanche ce retour n’est pas réussi à l'aune des objectifs que je m’étais fixés, ce qui est le lot de des entrepreneurs, car on n’est jamais vraiment pleinement satisfait, et je ne parle pas d’échec pour autant. Je dis juste qu’il reste du chemin à parcourir pour gagner mon pari (…).
Mais je n’envisage pas de repartir, car j’ai aujourd’hui un marché et des clients, malgré les contraintes, notamment sur le plan local et je compte bien rester pour continuer à créer de la valeur ajoutée sur mon territoire".En moyenne chaque année, environ 5000 Martiniquais quittent l'île pour s'établir ailleurs. Catherine Conconne reste déterminée à inverser cette tendance. Lors du premier apéro "Alé-Viré" (en novembre 2018), la Sénatrice déclarait à Martinique La1ere, "les compétences martiniquaises et la volonté de revenir au pays se manifestent quotidiennement. Il faut créer un cadre pour favoriser le retour des jeunes partis se former et concourir par leur présence à lutter contre le dépeuplement chronique de notre pays".
D'après la Sénatrice Catherine Conconne (à l’origine de cette initiative en 2018), les retours s’amplifient depuis la création de ce cercle.
Catherine Conconne
Parmi ces invités(ées), il y avait Alexandre Vantadour, vice-président de l’association "Alé-Viré" et Directeur Général d’un groupement d’entreprises spécialisées dans le digital. Voilà maintenant quatre ans qu’il est revenu en Martinique. Certes, tout n’est pas parfait, mais le retour au bercail reste globalement satisfaisant", pour ce jeune entrepreneur.Tout n’est pas parfait, mais le retour au bercail reste globalement satisfaisant. (Alexandre Ventadour)
"C’est un retour plutôt réussi, dans la mesure où j’ai créé mon entreprise, j’ai une équipe d’une dizaine de personnes autour de moi qui adhèrent et qui me rendent bien les efforts que j’investis dans cette société...
En revanche ce retour n’est pas réussi à l'aune des objectifs que je m’étais fixés, ce qui est le lot de des entrepreneurs, car on n’est jamais vraiment pleinement satisfait, et je ne parle pas d’échec pour autant. Je dis juste qu’il reste du chemin à parcourir pour gagner mon pari (…).
Mais je n’envisage pas de repartir, car j’ai aujourd’hui un marché et des clients, malgré les contraintes, notamment sur le plan local et je compte bien rester pour continuer à créer de la valeur ajoutée sur mon territoire".En moyenne chaque année, environ 5000 Martiniquais quittent l'île pour s'établir ailleurs. Catherine Conconne reste déterminée à inverser cette tendance. Lors du premier apéro "Alé-Viré" (en novembre 2018), la Sénatrice déclarait à Martinique La1ere, "les compétences martiniquaises et la volonté de revenir au pays se manifestent quotidiennement. Il faut créer un cadre pour favoriser le retour des jeunes partis se former et concourir par leur présence à lutter contre le dépeuplement chronique de notre pays".