Un incident a achevé la deuxième et dernière journée de la réunion de l'Assemblée de la CTM vendredi soir (13 octobre). Les élus de l'opposition ont quitté la salle en dénonçant entre autres, les menaces contre leur groupe. La majorité s'en défend.
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La dernière journée de la réunion de l'Assemblée de Martinique s'est achevée vendredi soir (14 octobre 2017), sur un incident entre majorité et opposition. À l’occasion de l’examen du point 83 relatif à la communication d’un avis de la Chambre Régionale des Comptes, présenté et commenté par le conseiller exécutif Louis Boutrin, l'opposition estime que "le président de l’Assemblée a refusé de donner la parole à Johnny Hajjar alors même qu’une élue de la majorité a pu s’exprimer sur le sujet.
"Le Président de l’Assemblée menace d’expulser manu militari notre collègue Johnny Hajjar, impose une suspension de séance et reprend la séance sans nous donner la parole", dénoncent les élus d’Ensemble pour une Martinique Nouvelle (EPMN). Ils parlent "de dérives répétées, les atteintes caractérisées et les menaces inacceptables proférées à l’encontre des élus de la minorité". La minorité a ensuite quitté l’hémicycle.
Dans un message sur les réseaux sociaux Daniel Marie-Sainte, le porte-parole de la CTM, accuse Johnny Hajjar, d'être l'agresseur qui veut se faire passer pour une victime.
"Le Président de l’Assemblée menace d’expulser manu militari notre collègue Johnny Hajjar, impose une suspension de séance et reprend la séance sans nous donner la parole", dénoncent les élus d’Ensemble pour une Martinique Nouvelle (EPMN). Ils parlent "de dérives répétées, les atteintes caractérisées et les menaces inacceptables proférées à l’encontre des élus de la minorité". La minorité a ensuite quitté l’hémicycle.
Dans un message sur les réseaux sociaux Daniel Marie-Sainte, le porte-parole de la CTM, accuse Johnny Hajjar, d'être l'agresseur qui veut se faire passer pour une victime.