J-1 avant l'Épiphanie et la traditionnelle dégustation de galette des Rois. Du coup c'est l'effervescence dans les boulangeries-pâtisseries de l'île afin de satisfaire la clientèle de gourmand.
Sur la route des Religieuses à Fort-de-France, la pâtisserie de Steeve Jean-François ne désemplit pas, les clients se bousculent afin d'effectuer leur commande de galette pour l'Épiphanie.
Malélivé (patate douce, coco), giraumon, confiture de goyave ou encore chocolat, le choix ne manque pas. Pourtant c'est la frangipane à base de crème d'amande qui séduit le plus. "C'est la tradition et puis voilà, les autres ne m'intéressent pas, c'est juste la frangipane que j'aime", avoue un client.
À la recherche d'originalité, certains privilégient des produits locaux comme la patate douce qui est le parfum le plus vendu après la traditionnelle frangipane. "J'ai voulu changer", justifie une cliente.
Dans cette autre boulangerie-pâtisserie de Fort-de-France, côté atelier, six pâtissiers sont au four et au moulin depuis 3 heures du matin. Rien que pour ce week-end d'Épiphanie, 250 kilos de pâte feuilletée ont été préparés. "On a déjà nos habitudes, ça se prépare presque tout seul", assure Mickael Delvi, le pâtissier. Vendues entre 15 et 20 euros la galette, janvier est une période très importante pour ces professionnels. En effet, ce dimanche d'Épiphanie donne le coup d'envoi pour tirer les rois chaque week-end jusqu'à la fin du mois.
Malélivé (patate douce, coco), giraumon, confiture de goyave ou encore chocolat, le choix ne manque pas. Pourtant c'est la frangipane à base de crème d'amande qui séduit le plus. "C'est la tradition et puis voilà, les autres ne m'intéressent pas, c'est juste la frangipane que j'aime", avoue un client.
800 galettes sur le week-end, 5 000 sur le mois
À la recherche d'originalité, certains privilégient des produits locaux comme la patate douce qui est le parfum le plus vendu après la traditionnelle frangipane. "J'ai voulu changer", justifie une cliente.
Dans cette autre boulangerie-pâtisserie de Fort-de-France, côté atelier, six pâtissiers sont au four et au moulin depuis 3 heures du matin. Rien que pour ce week-end d'Épiphanie, 250 kilos de pâte feuilletée ont été préparés. "On a déjà nos habitudes, ça se prépare presque tout seul", assure Mickael Delvi, le pâtissier. Vendues entre 15 et 20 euros la galette, janvier est une période très importante pour ces professionnels. En effet, ce dimanche d'Épiphanie donne le coup d'envoi pour tirer les rois chaque week-end jusqu'à la fin du mois.