Le projet Martiniquais au patrimoine mondial de l'Unesco doit être revu et doit intégrer l'île de la Dominique. La délégation du Parc Naturel n'a pas convaincu les experts lors de la réunion hier (mardi 23 octobre) à Paris. Il faut muscler le dossier pour qu'il ait plus de chances d'être retenu.
Louis Boutrin, président du Parc Naturel, a soumis hier (mardi 23 octobre) à Paris, la dernière phase de la candidature de la Martinique, au Comité Français du Patrimoine Mondial (CFPM). bien en amont de la présentation aux instances internationales de l’UNESCO en janvier 2019.
La délégation n'a pas convaincu les experts du Comité Français du Patrimoine Mondial (CFPM). Le dossier de 850 pages de la Martinique est en concurrence avec la Maison Carrée de Nîmes et le Phare de Cordouan dans l'estuaire de la Gironde.Le projet Martiniquais doit englober l'île de la Dominique pour avoir plus de chances face à la concurrence. Une proposition que ne partage pas Louis Boutrin, estimant que la Martinique doit être le seul à représenter la France. Le préfet, Franck Robine, voit plutôt un avantage dans cette décision d'ouverture.
L'inscription à l'UNESCO des "Volcans et Forêts de la Montagne Pelée et des pitons du nord de la Martinique“ est une action collective entreprise de longue date.Cette démarche s’inscrit dans le cadre d’un projet de développement socioéconomique du territoire martiniquais en harmonie avec la nature, la culture, l’environnement et en concertation avec la population.
La délégation n'a pas convaincu les experts du Comité Français du Patrimoine Mondial (CFPM). Le dossier de 850 pages de la Martinique est en concurrence avec la Maison Carrée de Nîmes et le Phare de Cordouan dans l'estuaire de la Gironde.Le projet Martiniquais doit englober l'île de la Dominique pour avoir plus de chances face à la concurrence. Une proposition que ne partage pas Louis Boutrin, estimant que la Martinique doit être le seul à représenter la France. Le préfet, Franck Robine, voit plutôt un avantage dans cette décision d'ouverture.