Trinidad-et-Tobago, Saint-Kitts-et-Nevis, la Jamaïque et Sainte-Lucie ont dressé l’inventaire des sources de contamination au mercure qui pourraient affecter la chaîne alimentaire.
L’intention est de prévenir des dangers du mercure pour l’homme. Car lorsque ce produit est rejeté dans la nature, il finit par pénétrer dans la terre, le sol ou les cours d’eau, et contamine à terme la chaîne alimentaire.
Les quatre pays ont donc décidé d’intégrer un projet d’étude et d’évaluation financé par le Fonds pour l’environnement des Nations-Unies.https://www.unenvironment.org/frUn séminaire organisé le mois dernier à Trinidad a permis de partager les résultats et donner des indications sur les actions à mener pour réduire les rejets de mercure dans l’environnement.
Trinidad-et-Tobago, Saint-Kitts-et-Nevis, la Jamaïque et Sainte-Lucie prévoient de lancer des campagnes de sensibilisation auprès des populations, tout en mesurant le risque d’alarmer les consommateurs et de provoquer des réactions de défiance excessives envers les produits de la pêche.
Car les gens ont tendance à paniquer quand on parle de mercure dans le poisson, hors à ce stade aucune espèce de poisson consommé couramment dans la caraïbe n’est signalée comme dangereuse.
Mais l’idée de cette étude est justement de réduire les rejets source de contamination potentielle. Et elles varient en fonction des territoires.
Ainsi, la principale source de contamination au mercure de Trinidad-et-Tobago est son industrie pétrolière et gazière, responsable de plus de 70% du mercure rejeté dans l'environnement de ce pays.
Pour la Jamaïque, l'importante industrie de la bauxite est la principale source de pollution par le mercure, tandis que pour Saint-Kitts-et-Nevis et Sainte-Lucie, les produits de consommation constituent la principale source de contamination
L’enjeu pour tous est d’éliminer progressivement les produits de consommation courante qui contiennent du mercure : les ampoules type CFL (fluorescentes compactes) en sont un exemple et font partie de la liste des produits à éliminer.
Les quatre pays ont donc décidé d’intégrer un projet d’étude et d’évaluation financé par le Fonds pour l’environnement des Nations-Unies.https://www.unenvironment.org/frUn séminaire organisé le mois dernier à Trinidad a permis de partager les résultats et donner des indications sur les actions à mener pour réduire les rejets de mercure dans l’environnement.
Sensibiliser les populations sans affoler
Trinidad-et-Tobago, Saint-Kitts-et-Nevis, la Jamaïque et Sainte-Lucie prévoient de lancer des campagnes de sensibilisation auprès des populations, tout en mesurant le risque d’alarmer les consommateurs et de provoquer des réactions de défiance excessives envers les produits de la pêche.
Car les gens ont tendance à paniquer quand on parle de mercure dans le poisson, hors à ce stade aucune espèce de poisson consommé couramment dans la caraïbe n’est signalée comme dangereuse.
Réduire les sources de contamination
Mais l’idée de cette étude est justement de réduire les rejets source de contamination potentielle. Et elles varient en fonction des territoires.
Ainsi, la principale source de contamination au mercure de Trinidad-et-Tobago est son industrie pétrolière et gazière, responsable de plus de 70% du mercure rejeté dans l'environnement de ce pays.
Pour la Jamaïque, l'importante industrie de la bauxite est la principale source de pollution par le mercure, tandis que pour Saint-Kitts-et-Nevis et Sainte-Lucie, les produits de consommation constituent la principale source de contamination
L’enjeu pour tous est d’éliminer progressivement les produits de consommation courante qui contiennent du mercure : les ampoules type CFL (fluorescentes compactes) en sont un exemple et font partie de la liste des produits à éliminer.