Selon une étude publiée par les chercheurs du CHRU de Lille, 47 % des patients infectés par le coronavirus et qui sont entrés réanimation étaient en situation d’obésité. Aux Antilles, en 2019, on comptait 23 % d’obèses, contre 16 % en France continentale.
Les spécialistes de la santé confirment depuis longtemps que le lien est avéré entre obésité et risque de complication, à cause des pathologies annexes.
D’après une étude publiée par les chercheurs du Centre Hospitalier Régional Universitaire de Lille, 47 % des patients qui ont été infectés par le coronavirus et qui sont passés en réanimation, étaient en situation d’obésité.
En Guadeloupe et en Martinique, cette pathologie est très inquiétante au vu des derniers chiffres officiels qui datent de 2019 : 23 % d’obèses dans les deux îles sœurs, contre 16 % dans l’hexagone, c’est à dire près d’un quart de la population.
Entre 2003 et 2017, le surpoids était déjà plus conséquent dans les Outre-mer en général, par rapport à la France continentale.
D’après une étude publiée par les chercheurs du Centre Hospitalier Régional Universitaire de Lille, 47 % des patients qui ont été infectés par le coronavirus et qui sont passés en réanimation, étaient en situation d’obésité.
Un fléau aux Antilles
En Guadeloupe et en Martinique, cette pathologie est très inquiétante au vu des derniers chiffres officiels qui datent de 2019 : 23 % d’obèses dans les deux îles sœurs, contre 16 % dans l’hexagone, c’est à dire près d’un quart de la population.
Un phénomène qui s’aggrave avec le temps en Outre-mer
Entre 2003 et 2017, le surpoids était déjà plus conséquent dans les Outre-mer en général, par rapport à la France continentale.
La population en situation d’obésité (...) figure parmi les personnes les plus vulnérables à l’épidémie de covid-19.
(Ministre des solidarités et de la santé - 11 mai 2020)
Face à l’ampleur du phénomène et dans un contexte de crise lié à l’épidémie de covid-19, le ministère des solidarités et de la santé a décidé de renforcer sa feuille de route.