"Elza" est une pièce de théâtre sur la maladie d’Alzheimer jouée à l'Atrium. Elle évoque la souffrance et la solitude des familles, ainsi que le rôle primordial des aidants. Une pièce présentée dans le cadre de la semaine bleue.
La souffrance et la solitude des familles de malades d’Alzheimer, évoquée à travers la pièce de théâtre "Elza", jouée une nouvelle fois à l’Atrium à l’occasion de l’édition 2019 de la semaine bleue. Voir notre reportage avec Guilhem Fraissinet. Les intervenants sont, Flora Germain (comédienne et auteure de la pièce), Thérèse Veilleur (comédienne), Patrick Sardi (réalisateur du film extrait de la pièce), Mireille Séjean (aidante familiale).
Déjà plusieurs mois que la pièce circule sur le territoire, au point d’avoir été reprise en format DVD avec le réalisateur Patrick Sardi. "Elza" aborde de façon émouvante la réalité des familles. Des enfants, des frères, des sœurs...qui ont du mal à comprendre le mal qui affecte un de leurs proches.
Ensuite, le sentiment que l’on peut éprouver de voir quelqu’un que l’on a connu dans toute sa splendeur et qui aujourd’hui est diminué. Et que dire d’une attention 24h/24, 7j/7, quand on doit s’occuper d’un parent.
Flora Germain, qui joue le rôle Elza et auteure de la pièce, explique comment elle s’est imprégnée de son personnage. Elle s’est rendue en EPADH, (Établissement d’Hébergement pour Personnes Âgées Dépendantes), a rencontré des aidants familiaux, des psychologues, "car il ne fallait surtout pas se rater", dit-elle, dans une situation que trop de nos familles connaissent.
"Elza" est une pièce "concernante", car nous connaissons tous une famille confrontée à cette réalité. Elle nous fait sourire, nous bouscule, nous interpelle, et nous effraie aussi. Elle met l’accent sur la souffrance des proches. C’est une pièce à voir.
Ensuite, le sentiment que l’on peut éprouver de voir quelqu’un que l’on a connu dans toute sa splendeur et qui aujourd’hui est diminué. Et que dire d’une attention 24h/24, 7j/7, quand on doit s’occuper d’un parent.
Flora Germain, qui joue le rôle Elza et auteure de la pièce, explique comment elle s’est imprégnée de son personnage. Elle s’est rendue en EPADH, (Établissement d’Hébergement pour Personnes Âgées Dépendantes), a rencontré des aidants familiaux, des psychologues, "car il ne fallait surtout pas se rater", dit-elle, dans une situation que trop de nos familles connaissent.
"Elza" est une pièce "concernante", car nous connaissons tous une famille confrontée à cette réalité. Elle nous fait sourire, nous bouscule, nous interpelle, et nous effraie aussi. Elle met l’accent sur la souffrance des proches. C’est une pièce à voir.