Le cabinet Carboni chargé de l'administration judiciaire de France-Antilles, enregistre à ce jour (5 septembre 2019), huit "manifestations d'intérêt" pour la reprise des activités du journal en Guyane, en Guadeloupe et en Martinique.
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L'intérêt pour la reprise de France-Antilles est manifeste. L'administrateur judiciaire (cabinet Charles Carboni), recense pour l'instant, huit "manifestations d'intérêt". Cela signifie que des groupes ou des entreprises sont intéressés mais ce n'est ni une offre concrète, ni un partenariat avec l'actionnaire du groupe, en vue de la cession de tout ou partie des activités de France-Antilles.
Les candidats sont les suivants :
En cessation de paiement depuis le 31 mai 2019, le groupe France-Antilles a été placé en redressement judiciaire le 25 juin 2019, avec une période d'observation de six mois.
Une prochaine audience devant le tribunal de commerce est prévue le 1er octobre 2019. Le tribunal aura trois options : un plan de redressement, une cession ou la liquidation judiciaire.
Les candidats sont les suivants :
- Hildegarde Sas, est une société installée à Paris, spécialisée dans le secteur d'activité de la production de films et de programmes pour la télévision.
- Caribbean Active broadcast (un groupe dirigé par un martiniquais spécialiste de la radio)
- Alizés tv (télévision privée de Guadeloupe)
- Trace Global (spécialiste dans le secteur de l'édition de chaînes thématiques)
- Medias du Sud (propriétaire notamment de la chaîne de télévision privée ViàAtv en Martinique).
- Prim Sas (une société d'imprimerie guadeloupéenne)
- Hubert Pedurand (projet de Scop, Société coopérative et participative).
En cessation de paiement depuis le 31 mai 2019, le groupe France-Antilles a été placé en redressement judiciaire le 25 juin 2019, avec une période d'observation de six mois.
Une prochaine audience devant le tribunal de commerce est prévue le 1er octobre 2019. Le tribunal aura trois options : un plan de redressement, une cession ou la liquidation judiciaire.