Depuis le 27 novembre 2018, les habitants de Schœlcher sont privés de transport public. Du coup dans les arrêts de bus la déception est encore est grande pour ces usagers qui esperaient une reprise aujourd'hui...
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S’agit-il d'un cafouillage ou d’un simple retard ? La question est posée. En ce début de matinée (mardi 7 mai 2019), Louis Boutrin, le vice-président de Martinique Transport s’est dit étonné. Selon ces dires, tout semblait prêt, il ne manquait qu’une autorisation de la DEAL (Direction de l'Environnement, de l'Aménagement et du Logement de la Martinique).
Le vice-président de Martinique Transport ne désespérait pas de voir la reprise des rotations dans la journée.
Pourtant à la DEAL, c’est le grand étonnement. Au bureau des transports ont dit ne pas comprendre.
C’est la société So-Transcop qui a été choisie par Martinique Transport pour assurer la desserte sur Schœlcher suite à l’injonction du tribunal.Le siège social de l'entreprise situé derrière le parc Floral à Fort-de-France, est fermé ce jour et son patron, Michel Pognon est absent, comme la plupart des interlocuteurs de ce dossier.
Un patron qui n’est pas un inconnu et qui n’a pas forcément laissé que de bon souvenir à la CFTU. En effet, c’est lui qui était à l’origine du blocage du dépôt l’an dernier selon la CFTU.La régie provisoire mise en place pour desservir les quartiers de Schoelcher est financée par les fonds alloués normalement à la CFTU.
Cette société a pour obligation de reprendre les chauffeurs licenciés par la Sotravom, le cotraitant défaillant qui n’assurait plus le service depuis plusieurs mois.
Après cinq mois sans bus, l'imbroglio se poursuit et les usagers de Schœlcher ne semblent pas au bout de leur peine.
Le vice-président de Martinique Transport ne désespérait pas de voir la reprise des rotations dans la journée.
Pourtant à la DEAL, c’est le grand étonnement. Au bureau des transports ont dit ne pas comprendre.
Une "nouvelle" société pour assurer le transport sur la commune
C’est la société So-Transcop qui a été choisie par Martinique Transport pour assurer la desserte sur Schœlcher suite à l’injonction du tribunal.Le siège social de l'entreprise situé derrière le parc Floral à Fort-de-France, est fermé ce jour et son patron, Michel Pognon est absent, comme la plupart des interlocuteurs de ce dossier.
Un patron qui n’est pas un inconnu et qui n’a pas forcément laissé que de bon souvenir à la CFTU. En effet, c’est lui qui était à l’origine du blocage du dépôt l’an dernier selon la CFTU.La régie provisoire mise en place pour desservir les quartiers de Schoelcher est financée par les fonds alloués normalement à la CFTU.
Cette société a pour obligation de reprendre les chauffeurs licenciés par la Sotravom, le cotraitant défaillant qui n’assurait plus le service depuis plusieurs mois.
Après cinq mois sans bus, l'imbroglio se poursuit et les usagers de Schœlcher ne semblent pas au bout de leur peine.