En ce jour (2 novembre), des défunts, intéressons-nous au "cimetière des riches" à Fort-de-France qui intrigue certains martiniquais. Pourquoi ce surnom ? Quelle histoire se cache derrière les tombeaux ?
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"Pour détenir une concession au cimetière des riches, il fallait avoir les moyens", confirme d'emblée, Marie-Michel Darsièrres, directrice du patrimoine et de la mémoire à la mairie de Fort-de-France.
Dans un des angles du cimetière, un caveau familial, c'est la plus vieille tombe. C'est la dernière demeure d'une famille arrivée en Martinique au début du XVIIe siècle, bien avant Belin-Desnambuc.
L'histoire avec un grand H, se raconte aussi en déambulant dans les allées du cimetière de la Levée.
(Re)voir ce grand moment de découverte dans le reportage d'Edouard Estripeaut et d'André Quion Quion.
Prouesses artisanales, bijoux de l'art funéraire
Ce lieu est connu sous une autre dénomination pour les 400 à 500 sépultures : Le cimetière de la Levée. Cet espace en pleine ville de Fort-de-France, a été ainsi aménagé au moment où il n'était plus possible d'inhumer dans les cryptes des églises. La ville en ce temps là, n'était pas aussi urbanisée.Dans un des angles du cimetière, un caveau familial, c'est la plus vieille tombe. C'est la dernière demeure d'une famille arrivée en Martinique au début du XVIIe siècle, bien avant Belin-Desnambuc.
L'histoire avec un grand H, se raconte aussi en déambulant dans les allées du cimetière de la Levée.
(Re)voir ce grand moment de découverte dans le reportage d'Edouard Estripeaut et d'André Quion Quion.
L'histoire du "cimetière des riches" à Fort-de-France
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