La précarité est mise au coeur du débat du mouvement des gilets jaunes. Ce mouvement est faiblement suivi en Martinique, alors même que 20,6% de la population vit sous le seuil de pauvreté. Une lutte au quotidien pour Virginie qui n'a pas d'autre choix que de se faire aider par les associations.
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Derrière la précarité se cachent des hommes et des femmes motivés à changer leur vie. C'est le cas de Virginie Mootamal, 55 ans. Tous les matins, elle multiplie ses quêtes sur les sites de recherche d'emploi.
Sans travail, elle vit avec 721 euros par mois, une somme qui provient des allocations. Lorsqu'elle paye le loyer de 570 euros de son appartement de 35 m2 aux Terres-Sainville à Fort-de-France, elle n'a pas les moyens de se faire plaisir.
Elle n’a pas d’autres choix que de faire appel aux associations telles que le secours catholique pour lui venir en aide.
(Re)voir le reportage de Bianca Careto.
Sans travail, elle vit avec 721 euros par mois, une somme qui provient des allocations. Lorsqu'elle paye le loyer de 570 euros de son appartement de 35 m2 aux Terres-Sainville à Fort-de-France, elle n'a pas les moyens de se faire plaisir.
Elle n’a pas d’autres choix que de faire appel aux associations telles que le secours catholique pour lui venir en aide.
(Re)voir le reportage de Bianca Careto.