Produit phare des fêtes de fin d’année, l’igname devrait à nouveau beaucoup s'écouler en ce mois de décembre. Cependant la production est plutôt moyenne cette année.
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La première cause de cette faible production est liée à la météo. Les ignames n’aiment pas l’eau et un peu comme l’an dernier, le temps pluvieux de cette année 2018 n'a pas aidé.
Heureusement pour les producteurs, ils ne vivent pas que d’ignames jaunes ou portugaises. Presque tous pratiquent la diversification.
Seule certitude : les producteurs ne devraient pas avoir trop de mal à écouler leurs productions pour les fêtes. Les années où il y avait plus de tubercules, ils vendaient déjà à tour de bras.
En effet, en plus de la pluie qui a contrarié les plans des cultivateurs, la profession a vu une partie de ses représentants partir à la retraite. À leur place, quelques jeunes formés, mais qui n’ont nulle part où travailler, à cause d’un manque de terrains sans chlordécone.
À cela s'ajoute le fait que la culture est devenue plus technique, ce qui dissuade certains apprentis. Du coup, il faudra faire avec ce que la nature nous offrira !
Seule bonne nouvelle, les ventes n’ont pas souffert du scandale de la chlordécone. Suite à la méfiance manifestée par certains consommateurs vis-à-vis de nos légumes racines, le pire était à craindre. Il n’en a finalement rien été. Selon la chambre d'agriculture, l’igname s’est au contraire, toujours bien vendue, et pas seulement durant les fêtes de Noël.
Heureusement pour les producteurs, ils ne vivent pas que d’ignames jaunes ou portugaises. Presque tous pratiquent la diversification.
Seule certitude : les producteurs ne devraient pas avoir trop de mal à écouler leurs productions pour les fêtes. Les années où il y avait plus de tubercules, ils vendaient déjà à tour de bras.
Une production qui ne devrait pas augmenter dans les années à venir
En effet, en plus de la pluie qui a contrarié les plans des cultivateurs, la profession a vu une partie de ses représentants partir à la retraite. À leur place, quelques jeunes formés, mais qui n’ont nulle part où travailler, à cause d’un manque de terrains sans chlordécone.
À cela s'ajoute le fait que la culture est devenue plus technique, ce qui dissuade certains apprentis. Du coup, il faudra faire avec ce que la nature nous offrira !
Seule bonne nouvelle, les ventes n’ont pas souffert du scandale de la chlordécone. Suite à la méfiance manifestée par certains consommateurs vis-à-vis de nos légumes racines, le pire était à craindre. Il n’en a finalement rien été. Selon la chambre d'agriculture, l’igname s’est au contraire, toujours bien vendue, et pas seulement durant les fêtes de Noël.