La nouvelle a été révélée en milieu de journée ce jeudi 15 octobre 2020 et le service parloir fermé dans la foulée. Trois agents du service et un autre de la détention ont été dépistés positifs à la Covid-19. D'autres agents devraient être testés dans les prochains jours.
C'est un scénario qui se répète dans de nombreuses entreprises et institution. Un agent qui serait un cas contact aurait infecté d'autres collègues sans même le savoir.
"Les autres agents du service ont été dépistés hier positif. Pour le moment on a quatre cas, mais on subodore plus de cas en escalade", explique Patrick Louvounou, secrétaire local du syndicat FO pénitentiaire.
Ainsi depuis le milieu de la journée le service des parloirs des familles a été fermé. "La direction a pris la décision de fermer le service à midi. Il n'y a pas de parloirs cet après-midi et jusqu'à nouvel ordre", ajoute-t-il.
Tous les personnels du service, une quinzaine de personnes, devraient être dépistés les prochains jours ainsi que leurs collègues en contact avec eux. En effet, sur les quatre agents, trois sont du service parloirs des familles et un autre qui travaille en détention.
Cependant ce foyer de contamination inquiète le syndicaliste par rapport à d'éventuels nouveaux cas.
"Les autres agents du service ont été dépistés hier positif. Pour le moment on a quatre cas, mais on subodore plus de cas en escalade", explique Patrick Louvounou, secrétaire local du syndicat FO pénitentiaire.
Ainsi depuis le milieu de la journée le service des parloirs des familles a été fermé. "La direction a pris la décision de fermer le service à midi. Il n'y a pas de parloirs cet après-midi et jusqu'à nouvel ordre", ajoute-t-il.
Tous les personnels du service, une quinzaine de personnes, devraient être dépistés les prochains jours ainsi que leurs collègues en contact avec eux. En effet, sur les quatre agents, trois sont du service parloirs des familles et un autre qui travaille en détention.
L'une des quatre personnes exerce au fin fond de la détention donc en contact avec les détenus.
Le masque est obligatoire dans l'établissement donc peut-être qu'on n’aura pas de soucis à ce niveau-là en détention.
Cependant ce foyer de contamination inquiète le syndicaliste par rapport à d'éventuels nouveaux cas.
On craint une vague de cas. C'est pour cela que fermer le service, désinfecter et de dépister tous les éventuels cas contacts ainsi que tous ceux qui le souhaitent nous apparaît comme une bonne mesure.C'est ce qui est important pour freiner l'épidémie.