Après le tour cycliste international de Martinique qui s'est clôturé ce dimanche 16 juillet, l'heure est au bilan. Quels seront les rendez-vous pour la discipline après ce moment fort ? Quels projets sont en attente de réalisation ?
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Le tour cycliste international de Martinique s'est achevé avec la belle victoire d'étape de Mickael Laurent de l'UCS et celle du Vénézuélien Jhonathan Salinas de la Pédale Pilotine.
Une édition 2017 qui a vu la participation de 105 coureurs, dont des anciens vainqueurs comme Hervé Arcade (2004), Willy Roseau (2008), Cédric Eustache (2012 et 2014) et Yolan Sylvestre (2016). Il a également révélé deux jeunes coureurs amateurs, Eddy-Michel Cadet Marthe du Madinina Bikers et Kévin Largitte-Coppet du CCV promis à un bel avenir à condition qu'ils parviennent à concilier leur travail et l'entraînement.
Les moyens financiers manquent aux municipalités candidates à donner de la visibilité au tour. Vouloir, mais pas pouvoir. Pas question pour des mairies de prendre des risques financiers qui les fragiliseraient alors même qu'elles ont déjà des difficultés à joindre les deux bouts. Une arrivée d'étape du tour cycliste a un coût financier important au moment où il y a des restrictions budgétaires un peu partout.
Alfred Defontis a obtenu l'organisation des championnats de la caraïbe cycliste en novembre prochain, mais il souhaitait également des championnats de France en Martinique comme l'athlétisme ou l'aviron. Le budget des championnats de France l'a contraint à renoncer et à donner la priorité à d'autres actions.
Alfred Defontis souhaite maintenant un bon comportement de la sélection de Martinique au tour de Guadeloupe puis de Guyane. Le public sportif martiniquais aussi.
Une édition 2017 qui a vu la participation de 105 coureurs, dont des anciens vainqueurs comme Hervé Arcade (2004), Willy Roseau (2008), Cédric Eustache (2012 et 2014) et Yolan Sylvestre (2016). Il a également révélé deux jeunes coureurs amateurs, Eddy-Michel Cadet Marthe du Madinina Bikers et Kévin Largitte-Coppet du CCV promis à un bel avenir à condition qu'ils parviennent à concilier leur travail et l'entraînement.
Un nouveau visage du tour quasiment impossible
Le tour exige de gros moyens financiers pour que son parcours soit plus attractif. Mais ce n'est pas demain que le tour cycliste international de Martinique va innover en ce qui concerne les arrivées d'étape. Alfred Defontis, le patron du cyclisme martiniquais, voudrait le rafraîchir en sortant des étapes traditionnelles, mais il se heurte aux nerfs de la guerre qu'est l'argent.Les moyens financiers manquent aux municipalités candidates à donner de la visibilité au tour. Vouloir, mais pas pouvoir. Pas question pour des mairies de prendre des risques financiers qui les fragiliseraient alors même qu'elles ont déjà des difficultés à joindre les deux bouts. Une arrivée d'étape du tour cycliste a un coût financier important au moment où il y a des restrictions budgétaires un peu partout.
Des projets pour la discipline
Le président du comité régional cycliste dépositaire d'un cyclisme conquérant a un projet de constituer une équipe antillo-guyanaise pouvant disputer les compétitions de DN2 (Division Nationale 2) en France hexagonale. Il a rencontré des difficultés financières et des problèmes logistiques après avoir consulté ses homologues de Guadeloupe et de Guyane.Alfred Defontis a obtenu l'organisation des championnats de la caraïbe cycliste en novembre prochain, mais il souhaitait également des championnats de France en Martinique comme l'athlétisme ou l'aviron. Le budget des championnats de France l'a contraint à renoncer et à donner la priorité à d'autres actions.
Alfred Defontis souhaite maintenant un bon comportement de la sélection de Martinique au tour de Guadeloupe puis de Guyane. Le public sportif martiniquais aussi.