Le flou persiste encore en cette fin de semaine à propos de la mise en place d’un service minimum sur le réseau Mozaïk à Schœlcher, où les usagers sont particulièrement impactés par le conflit en cours depuis plus de quatre mois.
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Dans un communiqué de presse publié ce jeudi 18 avril 2019, six entreprises co-traitantes, ainsi que le mandataire, la CFTU (Compagnie Foyalaise de Transports Urbains), se sont constituées en groupement, pour réclamer d’une seule voix à Martinique Transport "des conditions de sécurité spécifiques au regard des actes de malveillance recensés sur le réseau", avant d’amorcer la desserte des quartiers Schœlchérois.
Rappelons que le tribunal administratif a notifié à Martinique Transport mercredi 17 avril 2019 par ordonnance de référé, de rétablir sans délai le trafic sur le territoire de cette commune, à la suite d’une saisine de la municipalité et quelques-uns de ses élus.Et voilà qu’on apprend ce vendredi 19 avril 2019 que l’autorité organisatrice aurait finalement désigné deux sociétés dans le cadre d’une régie provisoire, à savoir le GTAC (Groupement des transporteurs associés du Centre) et la SOTRAVOM. Cette dernière étant à l’origine du bras de fer avec la CSTM.
Le secrétaire général du syndicat fustige cette décision si elle se confirme. Il est remonté et parle de manœuvre de diversion. Bertrand Cambusy affirme également avoir l’intention de porter plainte et confirme que les négociations sont à l’arrêt.
Une décision de justice
Rappelons que le tribunal administratif a notifié à Martinique Transport mercredi 17 avril 2019 par ordonnance de référé, de rétablir sans délai le trafic sur le territoire de cette commune, à la suite d’une saisine de la municipalité et quelques-uns de ses élus.Et voilà qu’on apprend ce vendredi 19 avril 2019 que l’autorité organisatrice aurait finalement désigné deux sociétés dans le cadre d’une régie provisoire, à savoir le GTAC (Groupement des transporteurs associés du Centre) et la SOTRAVOM. Cette dernière étant à l’origine du bras de fer avec la CSTM.
Le secrétaire général du syndicat fustige cette décision si elle se confirme. Il est remonté et parle de manœuvre de diversion. Bertrand Cambusy affirme également avoir l’intention de porter plainte et confirme que les négociations sont à l’arrêt.
Bertrand Cambusy