Plus de deux semaines après l'arrivée de Jet Blue en Guadeloupe, les autorités de Martinique s'activent pour trouver la compagnie qui succédera à la low-cost norvégienne. Et comme en Guadeloupe, Jet Blue pourrait être l'heureuse élue.
Les dirigeants de la low-cost américaine ont rencontré des représentants de la SAMAC (Société Aéroport Martinique Aimé Césaire) et de la CTM (Collectivité Territoriale de Martinique), il y a deux semaines. Et Jet Blue serait la candidate la mieux placée, et visiblement même, l'unique candidate, pour le moment.
Cette arrivée est programmée en fin d'année, lors de la prochaine haute saison touristique. Mais rien n'est, pour l'instant, signé. Nos représentants disent attendre encore une réponse du board américain.
Selon nos sources elle ne devrait pas intervenir avant plusieurs semaines, voire plusieurs mois, le temps pour les responsables de la société, de tirer un bilan de l'expérience guadeloupéenne.
Si le succès est au rendez-vous à Pointe-à-Pitre, la compagnie tentera le coup très certainement en Martinique.
Dans le cas contraire, il faudra sans doute aller voir ailleurs. Mais ce n'est pas la seule incertitude qui devra être levée.
Jet Blue dit ne pas être sûre d'avoir assez d'avions pour couvrir les deux lignes, Fort-de-France et Pointe-à-Pitre. De là à imaginer un partage de ligne avec la Guadeloupe, il n'y a donc qu'un pas. L'hypothèse n'aurait pas été avancée officiellement, mais cette option ne plaît clairement pas à nos responsables. Une ligne directe, c'est ce qu'ils veulent.
Autre détail à régler, et pas le moindre. Comment convaincre le transporteur de venir chez nous, en respectant notamment les règles financières ?
La Martinique aurait eu vent d'un subventionnement de la ligne par la Guadeloupe, ce qui est illégal. Les autorités attendraient la confirmation de cette information, avant d'avancer leurs pions.
Cette arrivée est programmée en fin d'année, lors de la prochaine haute saison touristique. Mais rien n'est, pour l'instant, signé. Nos représentants disent attendre encore une réponse du board américain.
Selon nos sources elle ne devrait pas intervenir avant plusieurs semaines, voire plusieurs mois, le temps pour les responsables de la société, de tirer un bilan de l'expérience guadeloupéenne.
Si le succès est au rendez-vous à Pointe-à-Pitre, la compagnie tentera le coup très certainement en Martinique.
Dans le cas contraire, il faudra sans doute aller voir ailleurs. Mais ce n'est pas la seule incertitude qui devra être levée.
Les élus martiniquais sont dans l'attente
Jet Blue dit ne pas être sûre d'avoir assez d'avions pour couvrir les deux lignes, Fort-de-France et Pointe-à-Pitre. De là à imaginer un partage de ligne avec la Guadeloupe, il n'y a donc qu'un pas. L'hypothèse n'aurait pas été avancée officiellement, mais cette option ne plaît clairement pas à nos responsables. Une ligne directe, c'est ce qu'ils veulent.
Autre détail à régler, et pas le moindre. Comment convaincre le transporteur de venir chez nous, en respectant notamment les règles financières ?
La Martinique aurait eu vent d'un subventionnement de la ligne par la Guadeloupe, ce qui est illégal. Les autorités attendraient la confirmation de cette information, avant d'avancer leurs pions.