Ces perturbations des liaisons radio utilisées à l’aéroport Aimé Césaire pour communiquer avec les avions avaient été relevées depuis le début du mois de mars. Il s'agissait d'une radio FM non autorisée par le CSA. Le propriétaire est condamné à payer une amende.
Posséder une radio FM est soumis à des règles strictes et le propriétaire de Power Fm l'a appris à ses dépens.
Ces dernières semaines, "les communications radio entre la tour de contrôle de l’aéroport Aimé Césaire et les avions étaient perturbées, principalement la nuit".
C'est radio Power Fm, qui était donc à l'origine de ce brouillage dont "l’émetteur diffusait sans autorisation et produisait en outre des parasites qui perturbaient les fréquences utilisées par l’aviation".
Ainsi, le 9 mars, le propriétaire de cette radio non autorisée, a été arrêté lors d'une intervention menée par la brigade de gendarmerie des transports aériens et l’ANFR, sous le contrôle du parquet de Fort-de-France.
"Le système d’émission de la radio FM a été saisi et son propriétaire placé en garde à vue. Le mis en cause a fait l'objet de poursuites par ordonnance pénale et condamné au paiement d’une amende délictuelle de 400 euros ainsi qu'à la destruction du matériel saisi".
C'est radio Power Fm, qui était donc à l'origine de ce brouillage dont "l’émetteur diffusait sans autorisation et produisait en outre des parasites qui perturbaient les fréquences utilisées par l’aviation".
Dès le 2 mars dernier, la Direction générale de l’Aviation civile avait diligenté une demande d’instruction de brouillage auprès de l’Agence nationale des fréquences (ANFR), en charge du contrôle du spectre radioélectrique et de la bonne utilisation des fréquences."Le mis en cause a fait l'objet de poursuites"
Ainsi, le 9 mars, le propriétaire de cette radio non autorisée, a été arrêté lors d'une intervention menée par la brigade de gendarmerie des transports aériens et l’ANFR, sous le contrôle du parquet de Fort-de-France.
"Le système d’émission de la radio FM a été saisi et son propriétaire placé en garde à vue. Le mis en cause a fait l'objet de poursuites par ordonnance pénale et condamné au paiement d’une amende délictuelle de 400 euros ainsi qu'à la destruction du matériel saisi".
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