Les salariés de France-Antilles seront fixés sur leur sort le 17 Mars 2020. Le projet présenté par Xavier Niel semble faire l'unanimité. Même si l'offre de reprise ne va pas au-delà de 126 personnes. La formule papier associée au numérique a été retenue pour la Martinique et la Guadeloupe.
Le tribunal de commerce de Fort-de-France a décidé de la poursuite d'activités de France-Antilles, sans parution du quotidien, jusqu'au 1 er avril 2020.
La décision sur le projet de reprise de la holding personnelle de Xavier Niel NJJ, est mise en délibéré et le tribunal de commerce rendra son avis le 17 mars 2020 à 9 heures.
126 salariés sur les 235 personnes qui étaient employées par France-Antilles seraient repris.
D'ores et déjà l'administrateur et le liquidateur de France-Antilles ainsi que Me Célénice, avocat des salariés de France-Antilles ont donné leur avis favorable sur ce projet de reprise.
L'imprimerie et le montage maquettiste pré-presse seraient transférés en Guadeloupe.
Le représentant personnel de Xavier Niel pour sa holding NJJ, Anthony Maarek, a demandé au tribunal un laps de temps supérieur aux prévisions pour affiner le projet éditorial et repenser la maquette du quotidien. Également le temps de remettre en route l'imprimerie et d'assurer son réapprovisionnement en papier.
Avec des informations sur la toile exclusivement et dans un premier temps sur la Guyane. La Guadeloupe et la Martinique auront les deux formules papier et numérique.
Pourquoi le maintien d'un quotidien alors que Xavier Niel mise sur le numérique dans l'hexagone ? "Pour tenir compte des habitudes de lecture en Outre-mer" précise Anthony Maarek .
.
Les journaux seront envoyés en Martinique par avion. Des trajets nocturnes pour diminuer le coût du transport aérien.
Anthony Maarek a précisé que les premières discussions avec les IRP (instances représentatives du personnel), ne sont qu"un prélude" au dialogue qui "devra aller plus loin".
Il a assuré le tribunal de commerce de Fort-de-France de la fiabilité de la holding NJJ, qui possède 10 milliards d'actifs dans le monde.
La mise pour la reprise de France-Antilles serait de 8 millions d'euros dont 3 millions d'aide publique.
À la fin de l'audience, certains salariés ont pu exprimer leur désarroi face aux multiples rebondissements économiques qu'ils viennent de vivre. Avec un regret et non des moindres, qu'une cellule psychologique n'ait pas été mise en place pour les accompagner dans cette épreuve.
La décision sur le projet de reprise de la holding personnelle de Xavier Niel NJJ, est mise en délibéré et le tribunal de commerce rendra son avis le 17 mars 2020 à 9 heures.
126 salariés sur les 235 personnes qui étaient employées par France-Antilles seraient repris.
D'ores et déjà l'administrateur et le liquidateur de France-Antilles ainsi que Me Célénice, avocat des salariés de France-Antilles ont donné leur avis favorable sur ce projet de reprise.
L'imprimerie et le montage maquettiste pré-presse seraient transférés en Guadeloupe.
Le représentant personnel de Xavier Niel pour sa holding NJJ, Anthony Maarek, a demandé au tribunal un laps de temps supérieur aux prévisions pour affiner le projet éditorial et repenser la maquette du quotidien. Également le temps de remettre en route l'imprimerie et d'assurer son réapprovisionnement en papier.
Avec des informations sur la toile exclusivement et dans un premier temps sur la Guyane. La Guadeloupe et la Martinique auront les deux formules papier et numérique.
Pourquoi le maintien d'un quotidien alors que Xavier Niel mise sur le numérique dans l'hexagone ? "Pour tenir compte des habitudes de lecture en Outre-mer" précise Anthony Maarek .
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Les journaux seront envoyés en Martinique par avion. Des trajets nocturnes pour diminuer le coût du transport aérien.
Anthony Maarek a précisé que les premières discussions avec les IRP (instances représentatives du personnel), ne sont qu"un prélude" au dialogue qui "devra aller plus loin".
Il a assuré le tribunal de commerce de Fort-de-France de la fiabilité de la holding NJJ, qui possède 10 milliards d'actifs dans le monde.
La mise pour la reprise de France-Antilles serait de 8 millions d'euros dont 3 millions d'aide publique.
À la fin de l'audience, certains salariés ont pu exprimer leur désarroi face aux multiples rebondissements économiques qu'ils viennent de vivre. Avec un regret et non des moindres, qu'une cellule psychologique n'ait pas été mise en place pour les accompagner dans cette épreuve.