Dans sa nouvelle lettre ouverte, Florent Grabin, l'écologiste lanceur d'alerte, dénonce "le dysfonctionnement récurent de la gestion de l'eau en Martinique", mais propose de recenser les bassins naturels qui se trouvaient dans nos rivières pour les remettre en service.
•
L'écologiste et lanceur d'alerte Florent Grabin, prend sa plume pour fustiger les gestionnaires de l'eau en Martinique. Il estime que les personnes compétentes dans ce domaine sont sacrifiées pour des considérations politiciennes. "Hélas, nous sommes victimes du mode opératoire de notre démocratie, qui veut qu'après chaque élection, il y ait le remplacement des élus et de certains cadres en poste dans les différentes instances".
"Concernant la bonne gestion de la ressource, il est impératif de recenser les bassins naturels qui se trouvaient dans nos rivières, pour les remettre en service. Cette initiative permettra d'avoir une réserve naturelle d'eau brute à traiter. Elle pourra alors être utilisée pour la boisson et l'irrigation et faire face au réchauffement climatique. Que fait notre ''ministre de l'environnement'' local ? Florent Grabin interpelle ainsi le conseiller exécutif Louis Boutrin.
Lire l'intégralité de la lettre de Florent Grabin, président de l'association Pour Une Martinique Autrement.
Remettre en service les bassins naturels
"Le réseau actuel est très défectueux, avec des fuites connues. Nous attachons du prix à faire remarquer que cette eau traitée n'arrive pas au robinet du consommateur, alors qu'elle lui est facturée", déplore Florent Grabin."Concernant la bonne gestion de la ressource, il est impératif de recenser les bassins naturels qui se trouvaient dans nos rivières, pour les remettre en service. Cette initiative permettra d'avoir une réserve naturelle d'eau brute à traiter. Elle pourra alors être utilisée pour la boisson et l'irrigation et faire face au réchauffement climatique. Que fait notre ''ministre de l'environnement'' local ? Florent Grabin interpelle ainsi le conseiller exécutif Louis Boutrin.
Lire l'intégralité de la lettre de Florent Grabin, président de l'association Pour Une Martinique Autrement.