Deux fois par semaine, des retraités prennent des cours de haute-taille dans une association de Ducos. Certains ont l'ambition de bien préparer le prochain bal.
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Dans une salle de Ducos, où tout le monde a l'air joyeux, des femmes et des hommes à la retraite, dansent la haute-taille. Les couples de danseurs répondent aux ordres d'un commandeur, c'est le principe. Mais cette fois, il n'y a pas de commandeur, pas d'orchestre, on se contente d'un CD.
Dans une ambiance parfois survoltée, danser la haute-taille procure un indéniable bien-être chez certains. "Je suis timide, j'ai eu du mal, mais je viens ici depuis deux ans. Je suis bien là maintenant, je me suis lâchée, ça va", avoue Suzette, âgé de 68 ans.
Ce soir là, les retraités répètent très sérieusement car ils préparent le prochain bal du 4 novembre.
(Re)voir le reportage d'Irène Emonides et François Marlin
Dans une ambiance parfois survoltée, danser la haute-taille procure un indéniable bien-être chez certains. "Je suis timide, j'ai eu du mal, mais je viens ici depuis deux ans. Je suis bien là maintenant, je me suis lâchée, ça va", avoue Suzette, âgé de 68 ans.
Ce soir là, les retraités répètent très sérieusement car ils préparent le prochain bal du 4 novembre.
(Re)voir le reportage d'Irène Emonides et François Marlin
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