Les résultats du questionnaire numérique du groupe Alé Viré ont été présentés à l’aérogare du Lamentin lundi 10 décembre. Il ne fait aucun doute que de nombreux jeunes souhaitent rentrer sur leur île. Mais parfois au prix de quelques sacrifices.
•
Le déclin démographie de la Martinique semble s’accélérer. Il y a donc urgence à inciter les jeunes à rester travailler sur leur île. Une volonté affichée par la sénatrice Catherine Conconne.
Cette dernière est à l’initiative du projet "Alé Viré". Les résultats du questionnaire numérique du groupe Alé Viré ont été présentés à l’aérogare du Lamentin lundi 10 décembre. Des 8 200 réponses, le groupe en a utilisé près de 5 500.
Un projet qui a démarré par la diffusion d’un questionnaire numérique. Plus de 8 000 Martiniquais y ont répondu. Un panel âgé de 21 à 40 ans et composé pour deux tiers de femmes.
Le retour vers l'île natale semble une évidence pour beaucoup d'entre eux.
(Re)voir le reportage de Corinne Jean-Joseph et Eddy Bellerose.
Un retour qui s’apparente à un véritable parcours du combattant pour les jeunes sur-diplômés.
L'histoire de Laurence, docteur en entomologie médicale, et Daniel, ingénieur en calcul. L'une travaille dans son domaine d'étude, mais en Nouvelle-Calédonie et l'autre a certes pu rentrer, mais a dû renoncer à son rêve professionnel.
(Re)voir le reportage de Corinne Jean-Joseph et Eddy Bellerose.
Cette dernière est à l’initiative du projet "Alé Viré". Les résultats du questionnaire numérique du groupe Alé Viré ont été présentés à l’aérogare du Lamentin lundi 10 décembre. Des 8 200 réponses, le groupe en a utilisé près de 5 500.
Un projet qui a démarré par la diffusion d’un questionnaire numérique. Plus de 8 000 Martiniquais y ont répondu. Un panel âgé de 21 à 40 ans et composé pour deux tiers de femmes.
Le retour vers l'île natale semble une évidence pour beaucoup d'entre eux.
(Re)voir le reportage de Corinne Jean-Joseph et Eddy Bellerose.
L'histoire de Laurence, docteur en entomologie médicale, et Daniel, ingénieur en calcul. L'une travaille dans son domaine d'étude, mais en Nouvelle-Calédonie et l'autre a certes pu rentrer, mais a dû renoncer à son rêve professionnel.
(Re)voir le reportage de Corinne Jean-Joseph et Eddy Bellerose.