La clinique Sainte-Marie a lancé une opération intitulée "mettez-vous à la place du chirurgien", ce mercredi (14 juin). Les chirurgiens ont sorti des blocs opératoires un robot chirurgical afin que le grand public puisse voir les avancées technologiques à disposition en Martinique.
•
Se mettre à la place du chirurgien, une expérience à la fois surprenante et déconcertante tant le rôle semble simple. Le temps d'une journée, les chirurgiens de la clinique Sainte-Marie ont sorti des blocs opératoires leur tout dernier robot chirurgical. L'objectif est que le grand public puisse voir les avancées technologiques existant en Martinique.Et certains ont pris les commandes de ce robot très particulier, "J'ai bien aimé, c'est souple, on dirait un jeu vidéo" précise une participante à l'opération. "C'est impressionnant" rajoute une autre.
Voir la vidéo de démonstration avec le chirurgien urologue Denis Janelle aux commandes :
Il s'agit de coeliochirurgie. Le robot permet d'opérer seul avec juste quelques trous, pour faire passer la caméra et d’autres pour les pinces et le bistouri.
Mais face à son coût important d'utilisation, cet outil de précision remarquable est utilisé où il y a une réelle plus-value technique comme le cancer de la prostate. "Grâce à cette chirurgie on arrive à améliorer les résultats l'incontinence et la sexualité des patients avec bien sûr une convalescence qui est réduite au strict minimum. Les patients sont sortis à J+3, moi j'ai connu une époque où on les gardait trois semaines" précise le chirurgien urologue Denis Janelle.
Voir la vidéo de démonstration avec le chirurgien urologue Denis Janelle aux commandes :
Il s'agit de coeliochirurgie. Le robot permet d'opérer seul avec juste quelques trous, pour faire passer la caméra et d’autres pour les pinces et le bistouri.
Mais face à son coût important d'utilisation, cet outil de précision remarquable est utilisé où il y a une réelle plus-value technique comme le cancer de la prostate. "Grâce à cette chirurgie on arrive à améliorer les résultats l'incontinence et la sexualité des patients avec bien sûr une convalescence qui est réduite au strict minimum. Les patients sont sortis à J+3, moi j'ai connu une époque où on les gardait trois semaines" précise le chirurgien urologue Denis Janelle.