Un peu avant et après le passage de phénomènes météorologiques, les routes martiniquaises subissent de plein fouet les assauts de la nature. Végétation, houle, boues ou accumulation d'eau de pluie bloquent la circulation sur certains grands axes sensibles.
Glissements de terrain, chutes d'arbres, montée des eaux, certains axes routiers subissent les effets de la nature lors de passage de cyclone sur notre île. En 2017, après le passage de l'ouragan Maria, un énorme tronc d'arbre avait bloqué la circulation durant plusieurs jours à Grand-Rivière.C'est la Collectivité Territoriale de Martinique qui est en charge des routes nationales (RN), départementales (RD) et de l'autoroute soit 1000 kilomètres de voiries. Les routes communales dépendent des mairies.
Ainsi durant la période cyclonique entre fin mai et fin novembre, le service est en alerte, et plus encore lorsque la vigilance est déclenchée. "Nous sommes toujours en alerte dès qu'il y a ce type de vigilance et à partir d'un certain stade nous déclenchons "le plan d'intervention des services techniques de la CTM. Ce qui permet de mobiliser tous les services concernés", précise Marc Mongis, chef du service Infrastructures et équipements à la CTM.
Chaque phénomène météorologique est différent en fonction des quantités de pluies ou de vents relevées ou encore de la zone touchée (Nord ou Sud) mais certaines routes sont un peu plus sensibles que d'autres. C'est le cas de la RN3 (route de la trace) entre Basse-Pointe et Fort-de-France, sujette aux éboulements ou encore aux chutes de végétation. Même constat pour la RN5 au niveau de la plaine de Rivière-Salée et la RN8 à Petit Bourg ou au niveau de Rivière-Pilote où l'eau monte rapidement. Idem sur la RN2 entre le Carbet et Saint-Pierre, où un forte houle peut rapidement perturber la circulation. "Nous avons des centres d'exploitations routiers répartis sur tout le territoire (Saint-Pierre, Basse-Pointe, Trinité, François, Lamentin (Carrère et Petit-Manoir), Rivière-Salée, Marin, Schoelcher). Des patrouilles sont faites.
Nous avons également des signalements qui sont faits par les autorités : police, gendarmerie, mairie. Lorsqu'il y a un événement qui vient de se produire, en général ils nous saisissent et si nous n'avons pas déjà l'information, on envoie des équipes sur place tant qu'on peut se déplacer.
Et après le passage du phénomène, lorsque les conditions permettent le déplacement des services, nous avons des reconnaissances qui sont faites pour pouvoir intervenir afin de rétablir les voies principales", explique Marc Mongis.
Les services participent également au Centre Opérationnel Départementale (COD) mis en place par la préfecture lors de passage de phénomènes cycloniques.
Ainsi durant la période cyclonique entre fin mai et fin novembre, le service est en alerte, et plus encore lorsque la vigilance est déclenchée. "Nous sommes toujours en alerte dès qu'il y a ce type de vigilance et à partir d'un certain stade nous déclenchons "le plan d'intervention des services techniques de la CTM. Ce qui permet de mobiliser tous les services concernés", précise Marc Mongis, chef du service Infrastructures et équipements à la CTM.
Des routes plus sensibles que d'autres
Chaque phénomène météorologique est différent en fonction des quantités de pluies ou de vents relevées ou encore de la zone touchée (Nord ou Sud) mais certaines routes sont un peu plus sensibles que d'autres. C'est le cas de la RN3 (route de la trace) entre Basse-Pointe et Fort-de-France, sujette aux éboulements ou encore aux chutes de végétation. Même constat pour la RN5 au niveau de la plaine de Rivière-Salée et la RN8 à Petit Bourg ou au niveau de Rivière-Pilote où l'eau monte rapidement. Idem sur la RN2 entre le Carbet et Saint-Pierre, où un forte houle peut rapidement perturber la circulation. "Nous avons des centres d'exploitations routiers répartis sur tout le territoire (Saint-Pierre, Basse-Pointe, Trinité, François, Lamentin (Carrère et Petit-Manoir), Rivière-Salée, Marin, Schoelcher). Des patrouilles sont faites.
Nous avons également des signalements qui sont faits par les autorités : police, gendarmerie, mairie. Lorsqu'il y a un événement qui vient de se produire, en général ils nous saisissent et si nous n'avons pas déjà l'information, on envoie des équipes sur place tant qu'on peut se déplacer.
Et après le passage du phénomène, lorsque les conditions permettent le déplacement des services, nous avons des reconnaissances qui sont faites pour pouvoir intervenir afin de rétablir les voies principales", explique Marc Mongis.
Les services participent également au Centre Opérationnel Départementale (COD) mis en place par la préfecture lors de passage de phénomènes cycloniques.