42 km de côtes, deux baies magnifiques, les ingrédients d’une carte postale idyllique. Un tableau malheureusement gâché depuis plus de 10 ans par des échouages réguliers d’algues sargasses.
La ville du Robert est la plus impactée de l’île, par le nombre important d’habitants exposés directement aux désagréments olfactifs, visuels et sanitaires. À la fin du plan sargasses 2018 et à l’aube du plan 2021, le maire estime que la gestion de l’État n’est pas à la hauteur de la crise.
(Re)voir le reportage avec des images de Thierry Sokkan.
Les communes n’ont aucune dotation supplémentaire de l’État pour leur gestion des sargasses.
Jusqu’ici les maires font avec les moyens du bord. Une aide de l’Europe par ci, une des communautés d’agglomération ou des associations par là.
Alfred Monthieux et tous les maires du littoral concernés par les sargasses vont se réunir pour parler d’une seule voix afin d’influencer les orientations du futur plan sargasses. Ils espèrent être appuyés par les parlementaires locaux.