Le Parti Progressiste Martiniquais a présenté ses voeux aux militants, lundi 28 janvier, à Fort-de-France. Le président du Parti, Serge Letchimy a fait feux de tout bois contre ses adversaires politiques et l'État. Il a indiqué que son groupe politique sera la seule vraie opposition en Martinique.
•
La séance des voeux du PPM à son siège de Trenelle à Fort-de-France a pris un caractère très politique et combatif. S'exprimant au micro, Serge Letchimy, le président du parti est apparu très remonté face à la situation de crise que connaît la Martinique. Les responsables sont ceux qui dirigent. Il a désigné Alfred Marie-Jean et le Gran Sanblé Pou Ba Péyi a An chans.
Le président du PPM a indiqué que son groupe EPMN (Ensemble Pour Une Martinique Nouvelle) sera debout face à la dictature d’Alfred Marie-Jeanne, en écorchant au passage les autres partis membres de la coalition au pouvoir. Extrait de son discours…
Serge Letchimy a aussi pointé du doigt l'attitude de la préfecture de Martinique sur le budget de la CTM (Collectivité Territoriale de Martinique).
Rappelant que l'ancienne Région dont il était le président avait laissé dans les caisses un excédent en décembre 2015, somme jamais inscrite dans les comptes par le préfet de l'époque Fabrice Rigoulet-Roze.
Pour Serge Letchimy, "le PPM doit composer avec un nouvel ennemi, l’État"
Les voeux du PPM ont été l'occasion pour Serge Letchimy de galvaniser ses troupes en vue des prochaines échéances politiques : les Municipales et la Collectivité Territoriale de Martinique.
Le président du PPM a indiqué que son groupe EPMN (Ensemble Pour Une Martinique Nouvelle) sera debout face à la dictature d’Alfred Marie-Jeanne, en écorchant au passage les autres partis membres de la coalition au pouvoir. Extrait de son discours…
Rappelant que l'ancienne Région dont il était le président avait laissé dans les caisses un excédent en décembre 2015, somme jamais inscrite dans les comptes par le préfet de l'époque Fabrice Rigoulet-Roze.
Pour Serge Letchimy, "le PPM doit composer avec un nouvel ennemi, l’État"