Le premier apéro de l'association Alé Viré, mercredi 31 octobre à Fort-de-France, a été un moment convivial, ponctué de témoignages. 30 personnes ont échangé sur leurs expériences et sur les solutions pour que les jeunes martiniquais partis étudier ou acquérir de l'expérience, reviennent au pays.
Le lancement de ces rendez-vous d'échanges s'est effectué au restaurant "Métro" à Dillon (Fort-de-France).Youssef Yerro, qui est rentré au pays pour créer des restaurants aux Antilles-Guyane, a souhaité apporter sa contribution au collectif, en accueillant ce tout premier apéro.
Cet échange voulu par l'association Alé Viré a rencontré un franc succès. De nombreux témoignages ont ponctué cette soirée sur les opportunités d'emploi, les créations d'entreprises, les aides à l'installation mais aussi les incitations au retour.
En moyenne chaque année environ 5000 Martiniquais quittent l'île. La sénatrice Catherine Conconne fait partie de ceux qui veulent inverser la courbe. "Les compétences martiniquaises, et la volonté de revenir au pays se manifestent quotidiennement. Il faut créer un cadre pour favoriser le retour des jeunes partis se former et concourir par leur présence à lutter contre le dépeuplement chronique de notre pays", déclare-t-elle.
Ce nouveau concept d'échange a duré deux heures et s'est déroulé en toute convivialité. Les jeunes entrepreneurs veulent aussi apporter leur contribution au développement de la Martinique
L'association Alé Viré compte renouveler cette opération et annonce un calendrier de rendez-vous mensuel en 2019.
Se retrouver et échanger
Cet échange voulu par l'association Alé Viré a rencontré un franc succès. De nombreux témoignages ont ponctué cette soirée sur les opportunités d'emploi, les créations d'entreprises, les aides à l'installation mais aussi les incitations au retour.
En moyenne chaque année environ 5000 Martiniquais quittent l'île. La sénatrice Catherine Conconne fait partie de ceux qui veulent inverser la courbe. "Les compétences martiniquaises, et la volonté de revenir au pays se manifestent quotidiennement. Il faut créer un cadre pour favoriser le retour des jeunes partis se former et concourir par leur présence à lutter contre le dépeuplement chronique de notre pays", déclare-t-elle.
Ce nouveau concept d'échange a duré deux heures et s'est déroulé en toute convivialité. Les jeunes entrepreneurs veulent aussi apporter leur contribution au développement de la Martinique