Parmi la quinzaine de sujets de l’épreuve de philosophie de cette session, quelques-uns pouvaient aisément inspirer les candidats, vu leur rapport avec l’air du temps.
"Éprouver l’injustice, est-ce nécessaire pour savoir ce qui est juste ?" Question posée à l’épreuve de philosophie en série scientifique. Dans la vie de chacun, il est, hélas, facile de détecter des moments d’injustice. Des situations générant frustration ou révolte du fait de se voir refuser ce auquel on a droit.
Dans la vie des peuples aussi, ces moments peuvent survenir. Les exemples sont fréquents où l’on attend la correction d’une anomalie. Exemple : la loi sur l’égalité réelle outre-mer dont les effets tardent à se manifester. Son intitulé en dit long sur la restauration d’une certaine morale.
L’injustice, dans ce cas, est sur le point d’être réparée. Car certains n’ont jamais cessé de vouloir faire reconnaître cette réalité. Manière d’illustrer ce sujet proposé en série L : "Peut-on renoncer à la vérité ?". Pour peu que celle-ci soit dérangeante, elle va dans le bon sens.
Mais voilà, "toute vérité est-elle définitive ?", comme le suggère cet autre sujet. Ne faut-il pas concevoir que ce qui est exact aujourd’hui ne le sera plus forcément demain ? L’époque ou l’air du temps influent sur notre jugement. Là aussi, notre histoire récente fourmille d’exemples montrant que chaque génération possède sa vérité.
À chaque génération, ses codes culturels et ses références. Un début de réponse pour cette autre question : "La culture nous rend-elle plus humains ?". La culture au sens du respect des normes sociales et des valeurs fondant une société.
Parmi lesquelles la liberté, notion complexe sur laquelle ont planché les lycéens en Bac technologique à partir d’un texte de Montesquieu pour lequel : "La liberté est le droit de faire tout ce que les lois permettent". Vaste débat philosophique, s’il en est.
Dans la vie des peuples aussi, ces moments peuvent survenir. Les exemples sont fréquents où l’on attend la correction d’une anomalie. Exemple : la loi sur l’égalité réelle outre-mer dont les effets tardent à se manifester. Son intitulé en dit long sur la restauration d’une certaine morale.
L’injustice, dans ce cas, est sur le point d’être réparée. Car certains n’ont jamais cessé de vouloir faire reconnaître cette réalité. Manière d’illustrer ce sujet proposé en série L : "Peut-on renoncer à la vérité ?". Pour peu que celle-ci soit dérangeante, elle va dans le bon sens.
Mais voilà, "toute vérité est-elle définitive ?", comme le suggère cet autre sujet. Ne faut-il pas concevoir que ce qui est exact aujourd’hui ne le sera plus forcément demain ? L’époque ou l’air du temps influent sur notre jugement. Là aussi, notre histoire récente fourmille d’exemples montrant que chaque génération possède sa vérité.
À chaque génération, ses codes culturels et ses références. Un début de réponse pour cette autre question : "La culture nous rend-elle plus humains ?". La culture au sens du respect des normes sociales et des valeurs fondant une société.
Parmi lesquelles la liberté, notion complexe sur laquelle ont planché les lycéens en Bac technologique à partir d’un texte de Montesquieu pour lequel : "La liberté est le droit de faire tout ce que les lois permettent". Vaste débat philosophique, s’il en est.