Coupures tournantes, arrosage des exploitations un jour sur deux, interdiction de laver son véhicule chez soi... ce sont les principales mesures prises par les autorités pour pallier le manque d’eau en Martinique. Une réunion de crise s'est tenue mercredi 27 mars à la préfecture.
L’heure est donc au rationnement. Franck Robine, le préfet a annoncé des mesures exceptionnelles, hier (mercredi 27 mars), pour faire face au manque d’eau en Martinique.
La sécheresse s’accentue. L'île connaît un fort déficit en pluie depuis plusieurs mois. Le carême est particulièrement rude. C’est le plus dur depuis près de 10 ans. Le niveau des cours d’eau est bas d’où les mesures prises par les services de l’État après consultation des services météorologiques.
Coupures tournantes, arrosage des exploitations un jour sur deux, interdiction de laver son véhicule chez soi, ne pas vidanger sa piscine, ce sont les mesures prises par les autorités pour pallier le manque d’eau.
Des restrictions qui devraient s'installer dans le temps si l’on se fie aux prévisions météo.
Les prochaines semaines d'avril risquent, en effet, d’être aussi sèches qu’en ce moment.
Distributeurs, services de l’État et collectivités sont convenus d’un planning préventif de coupures tournantes.
Les communes du centre et du sud sont particulièrement concernées par les délestages. Ces tours d'eau seront adaptés à l’intensité de la sécheresse et à la ressource disponible.
La sécheresse s’accentue. L'île connaît un fort déficit en pluie depuis plusieurs mois. Le carême est particulièrement rude. C’est le plus dur depuis près de 10 ans. Le niveau des cours d’eau est bas d’où les mesures prises par les services de l’État après consultation des services météorologiques.
Des restrictions qui devraient s'installer dans le temps si l’on se fie aux prévisions météo.
Les prochaines semaines d'avril risquent, en effet, d’être aussi sèches qu’en ce moment.
Jean-Noël Degrace
Les communes du centre et du sud sont particulièrement concernées par les délestages. Ces tours d'eau seront adaptés à l’intensité de la sécheresse et à la ressource disponible.