Certains chauffeurs de Mozaïk sont toujours en grève. Ils protestent contre le licenciement pour faute grave d’une de leurs collègues, suite à un échange injurieux entre cette dernière et un autre employé de l’entreprise.
Les chauffeurs de la Mozaïk (affiliés au syndicat majoritaire Sud Solidaire Transport) sont toujours en grève. Ils protestent contre le licenciement pour faute grave d’une de leurs collègues, suite à un échange injurieux entre cette dernière et un autre employé de l’entreprise. Les grévistes ont donc décidé de poursuivre leur action.
Depuis samedi matin (10 novembre 2018), pas de trafic de bus sur les grandes lignes de Fort-de-France, ni sur le circuit du TCSP entre Lamentin et Fort-de-France.
En outre, le syndicat dénonce les conditions de travail, en pointant du doigt l’état des véhicules, d’où le droit d’alerte déposé ce week-end.
Les Co et Sous-Traitants, devraient assurer normalement leur service sur la plupart des lignes périphériques, (au Lamentin, à Saint-Joseph et à Schœlcher). Notons que d’autres organisations syndicales pourraient se joindre au mouvement cette semaine.
Quant à la direction de la CFTU, elle a prévu de réunir ce lundi (12 novembre 2018), le CHSCT (Comité d’Hygiène, de Sécurité et des Conditions de Travail) pour tenter de trouver une issue, suite au dépôt du droit d’alerte, mais le président Alain Alfred, regrette le fait que les usagers sont pénalisés.
Importantes conséquences du conflit
Depuis samedi matin (10 novembre 2018), pas de trafic de bus sur les grandes lignes de Fort-de-France, ni sur le circuit du TCSP entre Lamentin et Fort-de-France.
En outre, le syndicat dénonce les conditions de travail, en pointant du doigt l’état des véhicules, d’où le droit d’alerte déposé ce week-end.
Le service est partiellement assuré mais la grogne peut s'étendre
Les Co et Sous-Traitants, devraient assurer normalement leur service sur la plupart des lignes périphériques, (au Lamentin, à Saint-Joseph et à Schœlcher). Notons que d’autres organisations syndicales pourraient se joindre au mouvement cette semaine.
Quant à la direction de la CFTU, elle a prévu de réunir ce lundi (12 novembre 2018), le CHSCT (Comité d’Hygiène, de Sécurité et des Conditions de Travail) pour tenter de trouver une issue, suite au dépôt du droit d’alerte, mais le président Alain Alfred, regrette le fait que les usagers sont pénalisés.