Certains l'attendaient, d'autres la redoutaient, mais c'est désormais chose faite. Une version locale du service de transport par le biais d'une application mobile du géant "Uber" nommé "Coco Martinique" est désormais disponible.
Un service sur le même modèle qu'Uber, mais version locale et avec le nom qui va avec. "Coco Martinique" est une nouvelle application de transport qui a fait son apparition sur les plateformes" IOS-Apple" et "Androïd", pour les tablettes et smartphones. Tout comme son homologue américain, il s'agit de proposer des courses rapides et pas chères.
L'appli est téléchargeable gratuitement autant pour les conducteurs que pour ceux qui se font conduire. Et le concept semble séduire déjà puisque environ 50 chauffeurs privés s'y sont déjà inscrits pour assurer des courses.
De leur côté, à l'image des chauffeurs de taxi de France, ceux de Martinique ne voient pas du tout ce nouveau venu d'un bon œil. "On ne sait pas ce qu'on va devenir avec tous ces genres de transports illégaux", commente un chauffeur de taxi professionnel à Fort-de-France.
Il y a quelques mois, le Comité Martiniquais du Tourisme et la Chambre de Métiers et de l'artisanat avaient lancé une application dédiée pour réserver un taxi directement sur son smartphone grâce à la géolocalisation. Un outil auquel peu de professionnels, une centaine sur cinq cents avait adhéré.
(Re)voir le reportage de Cyriaque Sommier et Marc Balssa.
Le développeur est un jeune homme de 23 ans
L'appli est téléchargeable gratuitement autant pour les conducteurs que pour ceux qui se font conduire. Et le concept semble séduire déjà puisque environ 50 chauffeurs privés s'y sont déjà inscrits pour assurer des courses.
De leur côté, à l'image des chauffeurs de taxi de France, ceux de Martinique ne voient pas du tout ce nouveau venu d'un bon œil. "On ne sait pas ce qu'on va devenir avec tous ces genres de transports illégaux", commente un chauffeur de taxi professionnel à Fort-de-France.
Il y a quelques mois, le Comité Martiniquais du Tourisme et la Chambre de Métiers et de l'artisanat avaient lancé une application dédiée pour réserver un taxi directement sur son smartphone grâce à la géolocalisation. Un outil auquel peu de professionnels, une centaine sur cinq cents avait adhéré.
(Re)voir le reportage de Cyriaque Sommier et Marc Balssa.