La gouvernance de l'Université des Antilles avance que le communiqué diffusé en interne n'était pas destiné à une large diffusion. Cependant, les révélations d'une étudiante de l'UFR Sciences Technologies Environnement qui aurait subi des actes qualifiés de violences sexistes et sexuelles, ne laissent personne indifférent sur le campus.
Un groupe d'étudiants de la filière monte au créneau et fustige l'attitude de la direction du campus.
Malgré les nombreuses sollicitations des journalistes de la rédaction, les dirigeants de l'université ont gardé le silence.
Une plainte a été déposée par la jeune étudiante en gendarmerie de Schoelcher au mois de février. Une enquête est en cours.