Le conseil d'administration de l'Université des Antilles, hier, mardi 27 novembre sur le campus de Fouillole à Pointe-a-Pitre avait des allures de mise au point. Au coeur des échanges la répartition de la masse salariale et les moyens financiers sur les campus de Fouillole et de Schoelcher.
Parmi les six points à l’ordre du jour du conseil d’administration de l’Université des Antilles, c'est celui de la répartition de la masse salariale qui était au centre des interrogations des élus de Guadeloupe et de Martinique.
Ces derniers dénoncent une répétition inéquitable de la masse salariale entre les deux îles. Lors du Conseil d’administration du 24 avril dernier ce point avait déjà été abordé. Selon les clés de répartition votées à cette période, un rééquilibrage financier de 7 millions d'euros s’imposait au profit du pôle universitaire de Fouillole plus pourvu en étudiants.
"Cette différence est répartie sur 10 ans à raison de 600 000 euros par an." Eustase Janky le président de l’université a précisé "qu’il n’était pas question de prendre de l’argent ou des enseignants de la Martinique pour les mettre en Guadeloupe". La présidence de l’Université compte agir sur les postes vacants. La réflexion sera poursuivie courant 2019 par une commission d’élus des deux pôles.
Voir le reportage de Guadeloupe la 1ère : Laeticia Broulhet - Jean-Marie Mavounzi
Des différents ponts à l’ordre du jour, le budget primitif a été voté à la majorité lors de ce conseil d’administration au campus de fouillole.
Ces derniers dénoncent une répétition inéquitable de la masse salariale entre les deux îles. Lors du Conseil d’administration du 24 avril dernier ce point avait déjà été abordé. Selon les clés de répartition votées à cette période, un rééquilibrage financier de 7 millions d'euros s’imposait au profit du pôle universitaire de Fouillole plus pourvu en étudiants.
"Cette différence est répartie sur 10 ans à raison de 600 000 euros par an." Eustase Janky le président de l’université a précisé "qu’il n’était pas question de prendre de l’argent ou des enseignants de la Martinique pour les mettre en Guadeloupe". La présidence de l’Université compte agir sur les postes vacants. La réflexion sera poursuivie courant 2019 par une commission d’élus des deux pôles.
Voir le reportage de Guadeloupe la 1ère : Laeticia Broulhet - Jean-Marie Mavounzi